Regulatory News:

Ipsen (Euronext : IPN ; ADR : IPSEY) a publié aujourd?hui son chiffre
d?affaires pour le quatrième trimestre et l?année 2014.

Chiffre d?affaires consolidé IFRS (non audité)

4e trimestre

12 Mois
% %
% Variation % Variation
(en millions d’euros) 2014 2013 Variation hors 2014 2013 Variation hors
effets de effets de
change change
CHIFFRE D?AFFAIRES PAR ZONES GEOGRAPHIQUES
Principaux pays d’Europe de l’Ouest 128,2 121,5 5,5% 4,7% 509,1 497,3 2,4% 1,8%
Autres pays d?Europe 79,9 83,6 -4,4% 4,6% 324,1 329,4 -1,6% 3,6%
Amérique du Nord 21,2 14,2 49,4% 36,3% 79,2 64,2 23,2% 23,7%
Reste du Monde 77,8 73,8 5,4% 0,4% 362,5 333,9 8,6% 10,4%
Chiffre d’affaires Groupe 307,1 293,0 4,8% 5,2% 1274,8 1 224,8 4,1% 5,7%
CHIFFRE D?AFFAIRES PAR DOMAINES THERAPEUTIQUES
Médecine de spécialité 228,8 209,9 9,0% 8,5% 947,1 871,1 8,7% 9,9%
Médecine générale 74,2 77,5 -4,3% -1,5% 311,9 320,2 -2,6% 0,5%
Chiffre d?affaires total médicaments 303,0 287,4 5,4% 5,9% 1259,0 1 191,3 5,7% 7,4%
Activités liées aux médicaments* 4,1 5,6 -27,5% -28,5% 15,9 33,5 -52,7% -53,0%
Chiffre d’affaires Groupe 307,1 293,0 4,8% 5,2% 1274,8 1 224,8 4,1% 5,7%

*Principes actifs et matières premières. Les ventes des Activités liées
aux médicaments sont pénalisées par le changement de méthode de
consolidation de la société suisse Linnea. La quote-part d?Ipsen dans
les ventes de principes actifs et matières premières faites par la
société Linnea, partenaire sur lequel Ipsen et le Groupe Schwabe
exercent un contrôle conjoint, sont désormais consolidées selon la
méthode de la mise en équivalence

Commentant la performance des ventes de l?année 2014, Marc de
Garidel, Président-Directeur général d?Ipsen,
a déclaré : «
En 2014, les ventes de médecine de spécialité ont progressé de 9,9%
1
grâce à l?accélération de la croissance de Somatuline
® sur
l?ensemble des territoires, la solide croissance de Dysport
® et
le rebond de Décapeptyl
® après une année 2013
difficile. En outre, la médecine générale s?est stabilisée grâce à notre
implantation dans les pays émergents.»
Marc de Garidel a
ajouté : « L?année 2014 a été marquée par des
évènements majeurs pour le groupe avec l?approbation de Somatuline
®
aux Etats-Unis dans le traitement de première ligne des tumeurs
neuroendocrines gastro-entéro-pancréatiques (TNE-GEP), la négociation
d?un partenariat exclusif avec Galderma pour le développement et la
commercialisation de neurotoxines et la matérialisation de notre
stratégie de business développement avec l?acquisition des droits
européens de telotristat etiprate. L?année 2015 s?annonce tout aussi
riche avec le lancement mondial de Somatuline
®
dans les TNE-GEP, le lancement potentiel de Dysport
®
en spasticité aux Etats-Unis et enfin les résultats de phase III de
tasquinimod dans le cancer de la prostate. »

1 Croissance des ventes exprimée d?une année sur l?autre hors
effets de change (cf. annexes)

Revue du chiffre d?affaires du quatrième
trimestre et de l?année 2014

Note : Sauf mention contraire, toutes les variations des ventes sont
exprimées hors effets de change
1.

Les ventes de médicaments du Groupe ont progressé de 5,9% au
quatrième trimestre 2014 et de 7,4% sur l?ensemble de l?année. Les
ventes consolidées du Groupe
ont progressé de 5,2% à 307,1 millions
d?euros au quatrième trimestre 2014 et de 5,7% à 1 274,8 millions
d?euros sur l?ensemble de l?année.

Les ventes de médecine de spécialité ont atteint 228,8 millions
d?euros au quatrième trimestre, en hausse de 8,5%. Elles se sont élevées
à 947,1 millions d?euros en 2014, en hausse de 9,9% d?une année sur
l?autre. Les ventes en urologie-oncologie, endocrinologie et neurologie
ont respectivement augmenté de 6,7%, 14,0% et 8,8%. En 2014, le poids
relatif des produits de médecine de spécialité a continué de progresser
pour atteindre 74,3% des ventes totales du Groupe, contre 71,1% un an
plus tôt.

Les ventes de Décapeptyl® ont atteint 73,2
millions d?euros au quatrième trimestre 2014, en baisse de 4,2% d?une
année sur l?autre, et 316,6 millions d?euros sur l?ensemble de l?année
2014, en hausse de 6,5%. La croissance des ventes en 2014 a bénéficié
d?une base de comparaison favorable du fait de la faible performance du
produit sur les neuf premiers mois de 2013 en Chine et au Moyen Orient,
où Ipsen avait réduit la fourniture de ses produits du fait de l?absence
de garanties de paiement, mais a été pénalisée au quatrième trimestre
2014 par la forte reprise des ventes dans ces régions au quatrième
trimestre 2013. En 2014, la performance de Décapeptyl®
s?inscrit néanmoins dans un marché pharmaceutique en contraction en
Europe, notamment affectée par un recours plus fréquent au co-paiement
en Europe du Sud et une baisse de l?activité dans les pays d?Europe de
l?Est. A ce titre, la performance en France a souffert d?une baisse des
volumes et d?une réduction de prix du médicament de 4,0% au 1er
avril 2014.

Les ventes de Somatuline® ont atteint
73,9 millions d?euros au quatrième trimestre 2014, en hausse de 20,6%
d?une année sur l?autre. En 2014, le chiffre d?affaires de Somatuline®
a progressé de 16,8% à 287,5 millions d?euros, porté par la forte
croissance en volume et en valeur aux Etats-Unis, la croissance soutenue
en volume en Allemagne accompagnée d?une diminution des rabais
obligatoires (de 16% à 7%) sur les ventes de médicaments de
prescription, et une forte dynamique en volume au Royaume-Uni. Somatuline®
a enregistré de bonnes performances en Espagne, en France, aux Pays-Bas,
au Danemark et en Belgique, mais a été pénalisé par une baisse de prix
en Colombie.

Les ventes de Dysport® ont atteint 59,2
millions d?euros au quatrième trimestre 2014, en hausse de 7,7% d?une
année sur l?autre. En 2014, les ventes de Dysport® se sont
élevées à 254,5 millions d?euros, en hausse de 8,6%, portées par la
fourniture du produit dans son indication esthétique à Galderma et par
la solide performance en volume des segments thérapeutique et esthétique
au Brésil. La croissance du produit a été affectée par le renforcement
de l?intensité concurrentielle en Corée du Sud et au Royaume-Uni, tout
en bénéficiant de la diminution des rabais obligatoires en Allemagne.

Les ventes de médecine générale ont atteint 74,2 millions d?euros
au quatrième trimestre 2014, en baisse de 1,5% d?une année sur l?autre.
En 2014, le chiffre d?affaires s?est élevé à 311,9 millions d?euros, en
progression de 0,5%. En France, les ventes de produits de médecine
générale ont décliné de 9,9%, pénalisées par les deux baisses de prix
consécutives de 7,5% sur Smecta® et par l?arrivée d?un
produit concurrent de Tanakan® en mars 2013. A
l?international, les ventes ont progressé de 5,2%, tirées par de solides
performances en Chine, en Algérie et en Russie, compensant le déclin en
France. Les ventes de médecine générale en France ont représenté 27,8%
des ventes totales de médecine générale du Groupe, contre 30,1% un an
plus tôt.

1 Cf. annexes

Les ventes de Smecta® ont atteint 26,8 millions
d?euros au quatrième trimestre 2014, en baisse de 7,3% d?une année sur
l?autre, principalement affectées par l?arrêt des ventes directes en
Algérie, remplacées dorénavant par la vente du principe actif à un
producteur local, enregistrées dans les Activités liées aux médicaments.
Retraitées de cet effet, les ventes ont progressé de 1,8% sur le
trimestre. En 2014, les ventes se sont élevées à 121,4 millions d?euros,
en hausse de 2,7%, tirées par la croissance soutenue en Russie, en
Algérie et en Chine, mais pénalisées en France par deux baisses de prix
de 7,5% intervenues en janvier et juillet 2014 et par une épidémie de
gastroentérite plus faible que l?an passé.

Les ventes de Tanakan® ont atteint 15,0
millions d?euros au quatrième trimestre 2014, en baisse de 9,7% d?une
année sur l?autre. En 2014, les ventes se sont élevées à 62,6 millions
d?euros, en recul de 0,6%, soutenues par la bonne performance du produit
en Russie. La croissance du produit a été pénalisée par le lancement
d?un deuxième produit « me-too » en France en 2013 et par le changement
de modèle commercial en Espagne, où le produit est désormais distribué
par un partenaire.

Les ventes de Forlax® ont atteint 10,1 millions
d?euros au quatrième trimestre 2014, en hausse de 9,1% d?une année sur
l?autre. En 2014, les ventes se sont élevées à 38,5 millions d?euros,
stables d?une année sur l?autre, affectées par le durcissement de la
règle du « Tiers-Payant1 » en France mais également par
une baisse des ventes à nos partenaires assurant la commercialisation de
versions génériques du produit.

1 Avec la règle du « Tiers-Payant », le patient avance le
paiement pour un médicament princeps et n?est remboursé que plus tard

A propos d?Ipsen

Ipsen est un groupe pharmaceutique de spécialité à vocation mondiale qui
a affiché en 2014 des ventes supérieures à 1,2 milliard d?euros.
L?ambition d?Ipsen est de devenir un leader dans le traitement des
maladies invalidantes. Sa stratégie de développement s?appuie sur 3
franchises : neurologie, endocrinologie et urologie-oncologie. Par
ailleurs, le Groupe a une politique active de partenariats. La R&D
d’Ipsen est focalisée sur ses plateformes technologiques différenciées
et innovantes en peptides et en toxines. En 2013, les dépenses de R&D
ont atteint près de 260 millions d?euros, soit plus de 21% du chiffre
d?affaires. Par ailleurs, Ipsen bénéficie également d?une présence
significative en médecine générale. Le Groupe rassemble près de 4 600
collaborateurs dans le monde. Les actions Ipsen sont négociées sur le
compartiment A d?Euronext Paris (mnémonique : IPN, code ISIN :
FR0010259150) et sont éligibles au SRD (« Service de Règlement Différé
»). Le Groupe fait partie du SBF 120. Ipsen a mis en place un programme
d?American Depositary Receipt (ADR) sponsorisé de niveau I. Les ADR
d?Ipsen se négocient de gré à gré aux Etats-Unis sous le symbole IPSEY.
Le site Internet d’Ipsen est www.ipsen.com.

Avertissement Ipsen

Les déclarations prospectives et les objectifs contenus dans cette
présentation sont basés sur la stratégie et les hypothèses actuelles de
la Direction. Ces déclarations et objectifs dépendent de risques connus
ou non, et d’éléments aléatoires qui peuvent entraîner une divergence
significative entre les résultats, performances ou événements effectifs
et ceux envisagés dans ce communiqué. Ces risques et éléments aléatoires
pourraient affecter la capacité du Groupe à atteindre ses objectifs
financiers qui sont basés sur des conditions macroéconomiques
raisonnables, provenant de l?information disponible à ce jour.

De plus, les prévisions mentionnées dans ce document sont établies en
dehors d?éventuelles opérations futures de croissance externe qui
pourraient venir modifier ces paramètres. Ces prévisions sont notamment
fondées sur des données et hypothèses considérées comme raisonnables par
le Groupe et dépendent de circonstances ou de faits susceptibles de se
produire à l?avenir et dont certains échappent au contrôle du Groupe, et
non pas exclusivement de données historiques. Les résultats réels
pourraient s?avérer substantiellement différents de ces objectifs compte
tenu de la matérialisation de certains risques ou incertitudes, et
notamment qu?un nouveau produit peut paraître prometteur au cours d?une
phase préparatoire de développement ou après des essais cliniques, mais
n?être jamais commercialisé ou ne pas atteindre ses objectifs
commerciaux, notamment pour des raisons réglementaires ou
concurrentielles. Le Groupe doit faire face ou est susceptible d?avoir à
faire face à la concurrence des produits génériques qui pourrait se
traduire par des pertes de parts de marché. En outre, le processus de
recherche et développement comprend plusieurs étapes et, lors de chaque
étape, le risque est important que le Groupe ne parvienne pas à
atteindre ses objectifs et qu?il soit conduit à renoncer à poursuivre
ses efforts sur un produit dans lequel il a investi des sommes
significatives. Aussi, le Groupe ne peut être certain que des résultats
favorables obtenus lors des essais pré cliniques seront confirmés
ultérieurement lors des essais cliniques ou que les résultats des essais
cliniques seront suffisants pour démontrer le caractère sûr et efficace
du produit concerné. Le Groupe dépend également de tierces parties pour
le développement et la commercialisation de ses produits, qui pourraient
potentiellement générer des redevances substantielles ; ces partenaires
pourraient agir de telle manière que cela pourrait avoir un impact
négatif sur les activités du Groupe ainsi que sur ses résultats
financiers. Le Groupe ne peut être certain que ses partenaires tiendront
leurs engagements. A ce titre, le Groupe pourrait ne pas être en mesure
de bénéficier de ces accords. Une défaillance d?un de ses partenaires
pourrait engendrer une baisse imprévue de revenus. De telles situations
pourraient avoir un impact négatif sur l?activité du Groupe, sa
situation financière ou ses résultats. Sous réserve des dispositions
légales en vigueur, le Groupe ne prend aucun engagement de mettre à jour
ou de réviser les déclarations prospectives ou objectifs visés dans le
présent communiqué afin de refléter les changements qui interviendraient
sur les événements, situations, hypothèses ou circonstances sur lesquels
ces déclarations sont basées. L’activité du Groupe est soumise à des
facteurs de risques qui sont décrits dans ses documents d’information
enregistrés auprès de l’Autorité des Marchés Financiers.

ANNEXES

VENTES HORS EFFET DE CHANGE

Sauf mention contraire, toutes les variations des ventes sont exprimées
hors effets de change et sont calculées en retraitant les chiffres
d?affaires du quatrième trimestre et de l?année 2013 aux taux de 2014.

FACTEURS DE RISQUES

Le Groupe exerce son activité dans un environnement qui connaît une
évolution rapide et fait naître de nombreux risques dont certains
échappent à son contrôle. Les risques et incertitudes présentés
ci-dessous ne sont pas les seuls auxquels le Groupe doit faire face et
le lecteur est invité à prendre connaissance du Document de Référence
2013 du Groupe, disponible sur son site web (www.ipsen.com).

  • Le Groupe fait face de manière générale à des incertitudes quant à la
    fixation des prix de tous ses produits dans la mesure où les prix des
    médicaments ont fait l?objet, au cours des dernières années, de fortes
    pressions en raison de divers facteurs parmi lesquels la tendance des
    gouvernements ou organismes payeurs à baisser les prix ou les niveaux
    de remboursement, voire à retirer de la liste des médicaments
    remboursés certains médicaments que le Groupe commercialise dans les
    pays où il opère.
  • Le Groupe dépend de tiers pour développer et commercialiser certains
    de ses produits, ce qui génère ou est susceptible de générer
    d?importantes redevances à son profit, mais les actions de ces tiers
    pourraient porter préjudice aux activités du Groupe. Le Groupe ne peut
    être certain que ses partenaires tiendront leurs engagements. A ce
    titre, le Groupe pourrait ne pas être en mesure de bénéficier de ces
    accords. Une défaillance d?un de ses partenaires pourrait engendrer
    une baisse imprévue de revenus. De telles situations pourraient avoir
    un impact négatif sur l?activité du Groupe, sa situation financière ou
    ses résultats.
  • Les résultats du Groupe pourraient ne pas atteindre les objectifs
    fixés, si un produit apparaissant comme prometteur pendant les phases
    de développement ou après les essais cliniques, n?est pas lancé ou est
    lancé mais ne se vend pas pour des raisons concurrentielles ou
    réglementaires.
  • Le processus de Recherche et Développement dure habituellement entre
    huit et douze ans et court de la date de la découverte jusqu?au
    lancement du produit sur le marché. Ce processus comprend plusieurs
    étapes et lors de chaque étape, le risque est important que le Groupe
    ait un retard ou ne parvienne pas à atteindre ses objectifs et qu?il
    soit conduit à renoncer à poursuivre ses efforts sur un produit dans
    lequel il a investi des sommes significatives. Ainsi, afin de
    développer un produit viable sur le plan commercial, le Groupe doit
    démontrer, par le biais d?essais pré-cliniques et cliniques, que les
    molécules sont efficaces et non dangereuses pour les êtres humains. Le
    Groupe ne peut être certain que des résultats favorables obtenus lors
    des essais pré-cliniques seront confirmés ultérieurement lors des
    essais cliniques ou que les résultats des essais cliniques seront
    suffisants pour démontrer le caractère sûr et efficace du produit
    concerné et permettre d?obtenir les autorisations administratives
    relatives à la commercialisation de celui-ci.
  • Le Groupe doit faire face ou est susceptible d?avoir à faire face à la
    concurrence (i) des produits génériques, notamment concernant les
    produits du Groupe qui ne sont pas protégés par des brevets comme
    Forlax® ou Smecta® par exemple (ii) de produits
    qui, bien que n?étant pas strictement identiques aux produits du
    Groupe ou n?ayant pas démontré leur bioéquivalence, ont obtenu ou sont
    susceptibles d?obtenir une autorisation de mise sur le marché pour des
    indications similaires à celles des produits du Groupe en vertu de la
    procédure réglementaire dite par référence bibliographique (usage
    médical bien établi) et ce avant l?expiration des brevets couvrant les
    produits qu?il exploite. Une telle éventualité pourrait entraîner pour
    le Groupe une perte de part de marché qui pourrait affecter le
    maintien de son niveau actuel de croissance de chiffre d?affaires ou
    de rentabilité.
  • Des tiers pourraient revendiquer le bénéfice de droits de propriété
    intellectuelle sur les inventions du Groupe. Le Groupe collabore avec
    de nombreux partenaires (universités et autres entités publiques ou
    privées) et échange avec eux différentes formes d?informations et de
    données en lien avec la recherche, le développement, la production et
    la mise sur le marché de ses produits. Malgré les précautions,
    notamment contractuelles, prises par le Groupe avec ces différents
    tiers, ces derniers (ou certains de leurs membres ou filiales)
    pourraient revendiquer la propriété intellectuelle des travaux
    réalisés par leurs employés ou tout autre droit de propriété
    intellectuelle en lien avec les produits du Groupe ou ses molécules en
    développement.
  • La stratégie du Groupe prévoit notamment l?acquisition de sociétés ou
    d?actifs facilitant l?accès à certains nouveaux marchés, projets de
    recherche, régions ou encore sur la réalisation de synergies avec
    certaines activités existantes. Si les perspectives de croissance ou
    de rentabilité de ces actifs, ou encore les hypothèses retenues pour
    leur valorisation, venaient à changer de façon substantielle par
    rapport aux hypothèses initiales, le Groupe pourrait potentiellement
    se retrouver dans l?obligation d?ajuster la valeur de ces actifs dans
    son bilan, ce qui pourrait par là même affecter de manière négative
    ses résultats et sa situation financière.
  • La commercialisation par le Groupe de certains produits a été et
    pourrait être affectée par une rupture dans les approvisionnements et
    par d?autres perturbations. Ces difficultés peuvent être à la fois de
    nature réglementaire (nécessité de remédier à certains problèmes
    techniques afin de mettre les sites de production en conformité avec
    les règlements applicables) ou technique (difficultés
    d?approvisionnement de qualité satisfaisante ou difficultés à produire
    de manière récurrente et pérenne des principes actifs ou des
    médicaments conformes à leurs spécifications techniques). Cette
    situation peut entraîner des ruptures de stock et/ou une baisse
    significative du chiffre d?affaires relatives à un ou plusieurs
    produits donnés. Plus précisément, dans son site de production
    américain d?Hopkinton, Lonza, le fournisseur du principe actif
    d?Increlex®, a fait face à des problèmes de fabrication sur
    Increlex®. L?interruption de l?approvisionnement d?Increlex®
    est intervenue mi-juin 2013 aux Etats-Unis et au 3ème trimestre 2013
    en Europe et dans le reste du monde. Les consultations avec les
    autorités nationales compétentes des États membres de l’UE ont permis
    un réapprovisionnement dès le début de l?année 2014. Aux Etats-Unis,
    Ipsen a libéré un lot du principe actif nécessaire à la fabrication
    d?Increlex® le 2 juin 2014 puis un second en septembre
    2014. Ipsen anticipe que des lots supplémentaires seront libérés dans
    les mois à venir, la société travaillant en étroite collaboration avec
    la FDA afin de pouvoir proposer dès que possible des lots
    supplémentaires d?Increlex®.
  • Dans certains pays dont l?équilibre financier est menacé et où le
    Groupe vend directement ses médicaments aux hôpitaux publics, celui-ci
    pourrait être confronté à des rabais ou au rallongement de ses délais
    de paiement, ou encore avoir des difficultés à recouvrer en totalité
    ses créances. Le Groupe surveille de près l?évolution de la situation
    notamment en Europe du Sud où les délais de paiement des hôpitaux sont
    particulièrement longs. De façon plus générale, le Groupe pourrait ne
    pas être en mesure de souscrire les montants d?assurance-crédit qui
    lui seraient nécessaires pour se protéger contre les risques d?impayés
    de ses clients au niveau global. De telles situations pourraient
    affecter l?activité du Groupe, sa situation financière et ses
    résultats.
  • Dans le cours normal de ses activités, le Groupe est impliqué ou
    risque d?être impliqué dans un certain nombre de procédures
    administratives ou juridictionnelles. Des réclamations pécuniaires
    sont faites à l?encontre du Groupe ou sont susceptibles de l?être dans
    le cadre de certaines de ces procédures.
  • La centralisation des excédents et besoins de financements des
    filiales étrangères hors zone euro expose le Groupe à un risque de
    change. La variation de ces taux de change peut avoir un impact
    significatif sur les résultats du Groupe.

FAITS MARQUANTS

Au cours de 2014, les faits marquants incluent :

  • Le 10 janvier 2014 ? Ipsen a annoncé que Jonathan Barnsley
    était nommé Vice-Président Exécutif en charge des Opérations
    Techniques et intégrait le Comité Exécutif du groupe Ipsen. Il a pris
    ses fonctions le 1er avril 2014 et rapporte directement à
    Christel Bories, Directrice Générale Déléguée d?Ipsen.
  • Le 14 janvier 2014 ? Ipsen et GW Pharmaceuticals plc ont
    annoncé la signature d?un accord exclusif confiant à Ipsen la
    promotion et la distribution en Amérique Latine (à l?exception du
    Mexique et des Caraïbes) de Sativex®, un spray buccal
    extrait du cannabis, destiné au traitement de la spasticité chez des
    patients atteints de sclérose en plaques. GW fournira le produit fini
    à Ipsen. GW Pharmaceuticals et Ipsen prévoient de déposer les
    premières demandes d?autorisations de mise sur le marché dans certains
    pays d?Amérique Latine courant 2014 pour l?indication de la spasticité
    due à la sclérose en plaques.
  • Le 14 janvier 2014 ? Ipsen a annoncé sa décision de déployer
    une équipe dédiée à l?oncologie pour commercialiser Somatuline®
    Depot® (lanréotide) 120 mg en injection (« Somatuline® »)
    dans les tumeurs neuro-endocrines aux Etats-Unis. Au cours des
    derniers mois, à la suite de la communication des données de l?étude
    clinique de phase III CLARINET® évaluant l?effet
    antiprolifératif de Somatuline® dans les TNE
    gastro-entéro-pancréatiques non fonctionnelles (TNE-GEP), le Groupe
    avait envisagé deux options ? celle d?assumer seul le lancement du
    produit et celle de lancer avec un partenaire. Ipsen estime que ces
    résultats encourageants représentent une opportunité majeure pour le
    Groupe à long terme avec un marché potentiel aux Etats-Unis de plus de
    500 millions de dollars1. Ipsen fait de son succès aux
    Etats-Unis une priorité stratégique. L?option de « lancer seul »
    maximise la création de valeur à long terme et participe à l?atteinte
    d?une taille critique aux Etats-Unis. Ipsen prévoit le dépôt de la
    demande d?autorisation de mise sur le marché pour Somatuline®
    dans l?indication des TNE au premier semestre 2014. Le coût annuel
    incrémental maximal associé au lancement de Somatuline® dans
    les TNE aux Etats-Unis est estimé entre 30 millions d?euros et 40
    millions d?euros. En conséquence, le point mort2 de la
    filiale américaine, initialement anticipé en 2014, est repoussé à
    2017. Ipsen va poursuivre la mise en ?uvre de mesures d?économies de
    coûts afin de limiter l?impact sur la profitabilité du Groupe.
  • Le 17 janvier 2014 ? Ipsen a annoncé lors du Symposium sur les
    Cancers Gastro-intestinaux (ASCO GI) que le critère principal de
    l?essai clinique ELECT® évaluant Somatuline® sur
    le contrôle des symptômes chez les patients atteints de tumeurs
    neuro-endocrines gastro-entéro-pancréatiques avec un antécédent de
    syndrome carcinoïde avait été atteint. Les résultats de l?étude de
    phase III ELECT® (poster 268) montrent que le traitement
    par Somatuline® 120mg s?est avéré supérieur au placebo, de
    manière statistiquement significative, pour diminuer le nombre de
    jours où les patients ont eu recours à l?octréotide à libération
    immédiate comme traitement symptomatique aigu, avec une différence
    moyenne de -14,8% (IC 95% : -26,8, -2,8 ; p = 0,017). Les taux de
    succès thérapeutique total ou partiel ont été significativement plus
    importants avec Somatuline® qu?avec le placebo (odds ratio
    = 2,4 ; IC 95% : 1,1, 5,3 ; p = 0,036).
  • Le 22 janvier 2014 ? Ipsen a annoncé la mise en place d?une
    nouvelle gouvernance aux États-Unis, faisant suite à la récente
    décision de lancer Somatuline® dans les indications
    oncologiques. Marc de Garidel supervisera personnellement ce projet de
    lancement. Cynthia Schwalm rejoindra les Opérations commerciales
    américaines d?Ipsen à compter du 3 février 2014 pour prendre la tête
    de la Business Unit Endocrinologie/Oncologie. A partir de mi-août
    2014, elle prendra les fonctions de Directeur général de la filiale
    américaine.
  • Le 5 février 2014 ? Ipsen a annoncé les résultats de l?étude
    clinique internationale de phase III de Dysport® Next
    Generation (DNG) dans la dystonie cervicale et de l?étude clinique
    européenne de phase II de DNG dans le traitement des rides de la
    glabelle. Fort de ces résultats, Ipsen annonce son intention de
    déposer une demande d?AMM3 pour la première toxine liquide
    de type A prête à l?emploi en Europe et dans le reste du monde4.

1 Estimations Ipsen du marché des TNE aux Etats-Unis en 2013

2 Contribution commerciale excluant les ventes d?Increlex®
(mecasermin [rDNA origin]) en injection et les revenus du partenariat en
médecine esthétique avec Galderma

3 Autorisation de mise sur le marché

4 Amérique Latine, Moyen Orient, Asie (hors Chine et Japon)

L?étude clinique de phase III dans la dystonie cervicale a démontré que
DNG, à la dose unique de 500 unités, était cliniquement et
statistiquement supérieur au placebo en semaine 4 (réduction moyenne
ajustée de 12,5 pour DNG versus 3,9 pour le placebo, telle que mesurée
avec l’échelle totale de « Toronto Western Spasmodic Torticollis Rating
Scale » (TWSTRS). Comparé à Dysport®, DNG n?a pas démontré
une non-infériorité statistique en efficacité en semaine 4 (réduction
moyenne ajustée de 12,5 pour DNG versus 14,0 pour Dysport®,
telle que mesurée avec l’échelle totale de TWSTRS). D?un point de vue
clinique, cette différence d?efficacité n?est probablement pas
pertinente. A dose répétée, DNG a montré une efficacité comparable à
l?efficacité de Dysport® qui avait été observée dans les
précédentes études de Phase III1. L?étude clinique de phase
II dans les rides de la glabelle a démontré que DNG était cliniquement
et statistiquement supérieur au placebo et comparable à Dysport®
à la dose unique de 50 unités. Dans l?ensemble des études, DNG a
démontré des profils de tolérance en ligne avec le profil de tolérance
connu de Dysport®. L?analyse de la stabilité de DNG est en
cours. Les tendances des données de stabilité sont positives, rendant
Ipsen confiant dans l?obtention d?un produit commercialement viable. Les
analyses de stabilité se poursuivent afin d?établir la durée de vie
maximale sur l?ensemble de la gamme. Sur la base de ces résultats et de
l?opinion de l?investigateur principal de l?étude de phase III, Ipsen
envisage d?entamer une consultation avec les agences réglementaires pour
définir la stratégie en vue du dépôt d?une demande d?AMM2
pour la première toxine liquide de type A prête à l?emploi en Europe et
dans le reste du monde3.

  • Le 7 février 2014 ? Ipsen a annoncé que les critères principaux
    de l?étude clinique de phase III évaluant l?administration par voie
    sous-cutanée de Décapeptyl® (pamoate de triptoréline) 11,25
    mg chez des patients atteints d?un cancer de la prostate métastatique
    ou localement avancé avaient été atteints. Les résultats complets de
    l?étude seront présentés en 2014 lors d?un congrès médical. Sur la
    base de ces résultats, Ipsen envisage de demander l?ajout de la voie
    sous-cutanée à la voie intramusculaire dans le libellé de
    l?autorisation de mise sur le marché du pamoate de triptoréline
    11,25 mg.
  • Le 18 mars 2014 ? Ipsen a annoncé les résultats positifs de
    l?étude clinique de phase IIa avec Dysport® dans le
    traitement de l?hyperactivité du détrusor d’origine neurologique (HDN)
    chez des patients dont l?incontinence urinaire est mal contrôlée par
    les traitements anticholinergiques. Les résultats montrent que le
    traitement par Dysport® est associé à une réduction
    moyenne, par rapport à l?évaluation initiale, des épisodes
    d’incontinence urinaire supérieure à 75%, 12 semaines après
    l?injection, quel que soit le mode d?administration. Ces résultats ont
    été obtenus avec une dose unique de Dysport® 750 unités
    injectée dans 15 ou 30 sites dans le muscle détrusor. L’efficacité a
    été confirmée par l’amélioration des paramètres urodynamiques et de la
    qualité de vie des patients. Le profil de tolérance observé dans
    l?étude est en ligne avec celui attendu dans cette indication.
  • Le 20 mars 2014 ? Ipsen a annoncé que son actionnaire
    majoritaire, Mayroy, avait placé auprès d?investisseurs
    institutionnels 5 888 290 actions représentant environ 7% du capital
    du Groupe, à un prix de 29,50 euros par action. Dans le cadre de cette
    opération, Ipsen a procédé au rachat de 842 542 de ses propres actions
    (soit 1% de son capital) afin de les annuler. Ipsen a été informé que
    le produit de cette vente sera utilisé pour financer en partie le
    rachat par Mayroy de la totalité de la participation détenue dans son
    capital par son actionnaire minoritaire, Opera Finance Europe, une
    société luxembourgeoise contrôlée par Madame Véronique Beaufour. Opera
    Finance Europe et ses actionnaires ne siègent pas au Conseil
    d?Administration d?Ipsen et n?ont pas de part active dans la gestion
    du Groupe. Le rachat du solde de la participation d?Opera Finance
    Europe sera financé par l?attribution par Mayroy d?actions Ipsen
    représentant environ 4% du capital d?Ipsen. Ces actions seront
    bloquées sur un compte séquestre pendant une durée de 12 mois suivant
    la réalisation de l’opération. Cette opération porte le flottant
    d?Ipsen d’environ 30% à 40%4. La participation de Mayroy
    s?établit désormais à environ 57,6% du capital et 73,3% des droits de
    vote d?Ipsen. La participation indirecte de Beech Tree (l’actionnaire
    de contrôle de Mayroy) dans Ipsen est légèrement reluée. Ipsen a par
    ailleurs été informé que le pacte d?actionnaires conclu entre Beech
    Tree, ses filiales et la famille Schwabe aux fins de la stabilité de
    l’actionnariat de contrôle de Mayroy, initialement conclu pour une
    période expirant le 31 décembre 2008, a été renouvelé jusqu’au 30 juin
    2015.

1 Truong D. et al. Mov. Disord., 2005; 20 (7) 783-791; Truong
et al., Parkinsonism Relat Disord. 2010 Jun;16(5):316-23

2 Autorisation de mise sur le marché

3 Amérique Latine, Moyen Orient, Asie (hors Chine et Japon)

4 Calcul prenant en compte le placement visé ci-dessus,
l?annulation des actions rachetées par Ipsen dans le cadre de cette
transaction, et l?annulation des 800 000 actions rachetées dans le cadre
du programme annoncé le 6 novembre 2013

  • Le 9 avril 2014 ? Ipsen a confirmé être éligible au dispositif
    du PEA-PME, en accord avec le décret français n° 2014-283 du 4 mars
    2014. Le Groupe respecte les seuils fixés par le législateur pour
    l’éligibilité des entreprises au PEA-PME, à savoir un effectif total
    de moins de 5 000 salariés et un chiffre d’affaires annuel inférieur à
    1 500 millions d’euros ou un total de bilan inférieur à 2 000 millions
    d’euros. Par conséquent, les actions de la société peuvent être
    intégrées au sein des comptes PEA-PME, qui bénéficient des mêmes
    avantages fiscaux que le plan d’épargne en actions (PEA) traditionnel.
    Ipsen a été sélectionné par Euronext pour faire partie de l?indice CAC® PME.
  • Le 12 avril 2014 ? Ipsen a annoncé que des premiers résultats
    dans l?étude clinique de phase III de Dysport® dans le
    traitement de la spasticité des membres supérieurs chez l?adulte ont
    été présentés le samedi 12 avril à la 8ème Conférence
    Mondiale de Neuroréhabilitation à Istanbul (Turquie). Quatre semaines
    après l?injection de Dysport®, l?étude clinique de phase
    III a démontré que :

– Les patients traités avec Dysport® ont présenté une
proportion plus élevée, de manière statistiquement significative
(p<0,0001), de répondants à l?amélioration du tonus musculaire
comparativement au placebo, (i.e. présentant ?1 point d?amélioration sur
l?échelle modifiée d?Ashworth (MAS). En semaine 4, les patients traités
avec Dysport® à des doses de 500 unités et de 1000 unités ont
montré des taux de réponse de respectivement 73,8% et 78,5%,
comparativement à 22,8% dans le bras placebo ;

– Les patients traités avec Dysport® ont présenté un bénéfice
clinique plus élevé, de manière statistiquement significative
(p<0,0001), comparativement au placebo, tel que mesuré grâce à
l?évaluation globale du médecin (Physician Global Assessment (PGA). En
semaine 4, l?évaluation moyenne globale du médecin chez les patients
traités avec Dysport® à des doses de 500 unités ou de 1000
unités était de respectivement 1,4 et 1,8, comparativement à 0,6 dans le
bras placebo.

  • En outre, les patients traités avec Dysport® ont montré une
    proportion plus importante de répondants à l?amélioration de la
    fonction subjective par rapport à la valeur de référence
    comparativement au placebo (présentant une baisse de ?1 point sur
    l?échelle d?évaluation d?invalidité). En semaine 4, l?échantillon de
    patients traité avec Dysport® 1000 unités a démontré un
    taux de réponse statistiquement significatif de 62%. L?échantillon de
    patients traité avec Dysport® 500 unités a démontré un taux
    de réponse cliniquement pertinent de 50%. Le bras placebo a démontré
    un taux de réponse de 39%.
  • Le 13 mai 2014 ? Ipsen a annoncé qu?Increlex® serait
    de nouveau disponible aux Etats-Unis à partir du 2 juin 2014. En
    collaboration avec les autorités réglementaires américaines (Food and
    Drug Administration, FDA), Ipsen a libéré un lot du principe actif
    nécessaire à la fabrication d?Increlex®. Ipsen anticipe que
    des lots supplémentaires seront libérés dans les mois à venir, la
    société travaillant en étroite collaboration avec la FDA afin de
    pouvoir proposer dès que possible des lots supplémentaires d?Increlex®.
  • Le 1er juillet 2014 ? Ipsen a annoncé
    le dépôt d?une demande d’indication supplémentaire (supplemental
    New Drug Application, sNDA
    ) auprès des autorités réglementaires
    américaines (Food and Drug Administration, FDA) pour Somatuline®
    Depot® 120 mg en injection dans le traitement des TNE-GEP
    (tumeurs neuroendocrines gastro-entéro-pancréatiques). Dans l?Union
    européenne, Ipsen a soumis des variations d?autorisations de mise sur
    le marché pour Somatuline® Autogel® 120mg en
    injection auprès des autorités réglementaires compétentes dans 25 pays
    membres de l?Union européenne. Après les Etats-Unis et l?Europe, Ipsen
    envisage de déployer un programme d?enregistrement mondial.
  • Le 11 juillet 2014 ? Ipsen et Galderma, l?un des premiers
    laboratoires de dermatologie au plan mondial, ont annoncé qu?ils
    avaient considérablement renforcé la portée de leur partenariat dans
    les neurotoxines. Selon les termes de l?accord, les droits de
    distribution de Dysport® aux Etats-Unis et au Canada,
    jusqu?alors détenus p

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Ipsen : chiffre d’affaires du 4ème trimestre et de l’année 2014

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