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24 août 2017, 7h00

La fréquentation a progressé au cours du premier semestre, principalement grâce à l'apport des cinémas nouvellement ouverts aux Pays-Bas et en France en 2016 et 2017.

La poursuite de l'implémentation des piliers stratégiques et l'innovation produit ont donné lieu à une nouvelle augmentation des ventes par visiteur dans tous les pays ainsi qu'à une performance commerciale et opérationnelle renforcées.

Chiffres clés du premier semestre 2017 [1] [2] :

  • Le nombre de visiteurs a augmenté de 4,8 % à € 11,8 millions.
  • Les produits provenant de la vente de tickets, de boissons et de snacks ont connu une hausse de 9,2 %, dépassant la croissance de la fréquentation. Les produits totaux ont augmenté de   7,9 % à € 160,1 millions.
  • L'EBITDA [3] courant [4] (REBITDA) a grimpé de 11,2 % pour s'établir à € 44,0 millions.
  • Le bénéfice courant net a bondi de 17,4 % à € 16,4 millions en raison d'une hausse limitée des amortissements et d'une légère baisse des charges financières, malgré l'accroissement de la charge d'impôt.
  • Le flux de trésorerie libre [5] a chuté de 11,8 % à € 8,6 millions.
  • La dette financière nette s'est accrue de € 25,3 millions pour s'établir à € 195,0 millions [6] , en raison notamment du paiement du dividende, du paiement des investissements pour les nouveaux complexes achevés en novembre et en décembre 2016 ainsi que d'une évolution normale du fonds de roulement pour la première moitié de l'année.

Le premier trimestre 2017 a affiché une performance plutôt positive grâce à la sortie de films tels que « Cinquante nuances plus sombres », « Sing », « La la Land », « La Belle et la Bête » et « Logan », mais souffrait d'une comparaison difficile avec un premier semestre 2016 exceptionnel grâce à des films comme « Star Wars Episode VII: Le Réveil de la Force », « Deadpool » et « The Revenant ». Le premier trimestre 2017 a d'abord été suivi d'un excellent mois d'avril, mais, ensuite, le beau temps des mois de mai et de juin a eu un impact négatif sur la fréquentation, ce qui a fini par donner lieu à un deuxième trimestre plutôt faible.

Les produits associés à la fréquentation (provenant de la vente de tickets, de boissons et de snacks) ont progressé de 9,2 % par rapport à la même période l'an dernier. Les produits Box Office (BO) par visiteur affichent eux aussi une augmentation, grâce notamment à une offre 3D renforcée et à l'introduction de l'IMAX, à un contenu alternatif plus présent, à l'impact positif du mix de pays et aux ajustements tarifaires opérés dans les complexes rénovés. Quant aux produits de la vente de boissons et de snacks (In-theatre sales, ITS), ils ont enregistré une hausse dans tous les pays.

Les produits B2B et immobiliers ont eux aussi progressé plus fortement que la fréquentation. Les produits de Brightfish et de Kinepolis Film Distribution (KFD) ont reculé. S'agissant de Brightfish, cette baisse est imputable à une diminution du nombre d'événements organisés avec les partenaires. Pour ce qui est des activités de distribution de films, elles ont eu moins de sorties de films, surtout au regard d'un premier semestre 2016 exceptionnel qui avait pu profiter de films à succès locaux comme « Safety First » et « Au-delà des nuages ». 

Eddy Duquenne, CEO Kinepolis Group, au sujet du premier semestre : « Les résultats du premier semestre sont satisfaisants. Nous sommes parvenus, en dépit d'une belle météo et d'une programmation moins réussie au deuxième trimestre, à poursuivre notre croissance, grâce notamment à une innovation produit qui porte ses fruits et au renforcement de notre performance commerciale et opérationnelle. Pour ce qui concerne la période à venir, nous avons prévu de concentrer notre attention sur l'intégration des cinémas récemment acquis, la croissance des complexes nouvellement lancés et la poursuite de l'expansion du Groupe ».

Vous trouverez le r apport financier semestriel en annexe.
 
 

[1] Toutes les comparaisons sont effectuées par rapport au premier semestre de 2016.

[2] Communiqué de presse sur la base de chiffres non audités.

[3] L'EBITDA n'est pas un critère reconnu dans le cadre des normes IFRS. Kinepolis Group définit ce concept en ajoutant au résultat opérationnel les amortissements comptabilisés, les réductions de valeur et les provisions, moins les reprises et utilisations éventuelles de ces mêmes postes.

[4] Après élimination des opérations non courantes.

[5] Kinepolis Group définit le flux de trésorerie libre comme le flux de trésorerie provenant des activités opérationnelles, moins les investissements d'entretien en immobilisations corporelles et incorporelles et immeubles de placement et les intérêts payés.

[6] Par rapport au 31 décembre 2016.


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Source: Kinepolis Group via GlobeNewswire

HUG#2128770

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Au premier semestre, Kinepolis a enregistré une progression de la fréquentation de 4,8 % et du chiffre d’affaires de 7,9 %, pour un REBITDA en hausse de 11,2 %

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