Alexion Pharmaceuticals, Inc. (Nasdaq : ALXN) a annoncé aujourd’hui que
les renseignements publiés dans l’édition du 6 juin de The New
England Journal of Medicine (NEJM)
prouvent qu’un traitement
régulier au Soliris® (eculizumab) est efficace chez les
patients atteints du syndrome hémolytique et urémique atypique (SUHa),
une maladie génétique permanente qui détruit les organes vitaux et
engendre le décès prématuré.1 Chez les patients souffrant de
SUHa, l’activation incontrôlée de la voie terminale du complément
provoque la microangiopathie thrombotique (MAT), la formation de
caillots sanguins dans les petits vaisseaux sanguins dans le corps.2,3

Les résultats de deux études pivots publiés dans le NEJM,
indiquent que le traitement régulier au Soliris freine notablement la
MAT à médiation complémentaire chronique, réduit la nécessité des
interventions chirurgicales liée à cette condition et améliore de
manière soutenue le nombre de plaquettes, augmentant ainsi
progressivement la fonction rénale des divers groupes de patients dans
le temps entraînant le rétablissement durable des reins chez les
patients atteints du SUHa. En outre, le traitement chronique par Soliris
mène à l’inversion des dommages des organes vitaux et à des
améliorations notables de la qualité de vie liée à la santé (QVSL). Les
données de l’étude indiquent également qu’une intervention précoce avec
Soliris permet d’améliorer les résultats cliniques.1

aHUS est une maladie chronique engageant le pronostic vital qui peut
progressivement détruire les organes vitaux, aboutissant à l’AVC, la
crise cardiaque, la défaillance rénale et au décès.4 La
morbidité et la mortalité précoce en cas de syndrome hémolytique et
urémique atypique sont entraînées par l’activation chronique incontrôlée
du complément, conduisant à la MAT systémique.5,6 Soliris,
l?inhibiteur de la voie terminale du complément de sa catégorie, est
indiqué pour le traitement de patients atteints de SUHa pour entraver la
MAT à médiation complémentaire.

« Soliris représente une avancée importante dans le traitement des
patients atteints de SHUa, car il cible directement l’activation
chronique incontrôlée du complément, la cause sous-jacente de la
défaillance progressive des organes et du raccourcissement de la durée
de leur durée de vie », a déclaré l’auteur de l’étude, Christophe
Legendre, M.D., professeur de néphrologie à l’université Paris Descartes
et à l’hôpital Necker de Paris, en France. « Grâce à ce traitement
homologué et hautement efficace appuyé par de solides données revues par
les pairs, les médecins pourront, s’ils sont bien attentifs à
diagnostiquer de façon différentielle les patients atteints de SHUa,
commencer rapidement le traitement en respectant les schémas
posologiques approuvés, prévenir le risque permanent de complications
cliniques systémiques de la MAT, notamment l’endommagement de plusieurs
systèmes d’organes vitaux. »

Les homologations de Soliris aux États-Unis et dans d’autres pays pour
le traitement de patients atteints de SUHa lui ont été accordées sur la
base de données provenant de deux études prospectives publiées
aujourd’hui dans le NEJM, ainsi que sur des renseignements issus
d’une autre étude rétrospective.7 Soliris est le premier et
seul traitement contre le SUHa ciblant directement la cause sous-jacente
de la maladie : l’activation chronique incontrôlée de la voie terminale
du complément déclenchant la MAT à médiation complémentaire. Avant la
mise sur le marché de Soliris, jusqu’à 65 % des patients souffraient
d’un endommagement rénal évoluant vers une insuffisance rénale chronique
au stade ultime (IRSU) où décédaient dans l’année qui suivait le
diagnostic de SUHa.8

« Nous agissons le plus rapidement possible afin d’amener Soliris à plus
de patients souffrant de cette maladie potentiellement mortelle dans le
monde entier », a expliqué la coauteure de l’étude, Camille Bedrosian,
M.D., vice-présidente exécutive et médecin-chef chez Alexion
Pharmaceuticals, Inc. « Lors de ces études cliniques, l’intervention
précoce de Soliris pour inhiber totalement et chroniquement l’activité
de la voie terminale du complément a permis d’améliorer notablement la
santé d’une population étendue de patients atteints de SUHa. »

Données de l’étude clinique publiée dans le NEJM

Les résultats publiés dans le NEJM sont basés sur deux études
prospectives multicentriques (désignées par Étude 1 et Étude 2) au cours
desquelles des patients atteints de SUHa âgés de 12 ans et plus ont reçu
Soliris pendant 26 semaines ainsi que lors de prolongations à long terme
de chaque essai (durées moyennes de 64 et 62 semaines pour l’essai
associé et les prolongations des études 1 et 2, respectivement). L’étude
1 comportait 17 patients avec un nombre réduit de plaquettes, souffrant
d’un important dommage rénal avec des signes cliniques de MAT évolutive
dont le SUHa a été diagnostiqué en moyenne 9,7 mois avant la sélection.
L’étude 2 comportait 20 patients souffrant d’insuffisance rénale
chronique, traités de manière prolongée par échange ou perfusion de
plasma et souffrant de SUHa de longue durée dont le SUHa a été
diagnostiqué en moyenne 48 mois avant la sélection.1

Lors des deux études, la normalisation des mesures hématologiques avec
Soliris indique une chute importante la MAT à médiation complémentaire
ainsi que des interventions liées à la MAT. Dans l’étude 1, le nombre de
plaquettes à la vingt-sixième semaine a augmenté pour atteindre 73 x 109
par litre (P < 0,001) à la vingt-sixième semaine 9 . Dans
l’étude 2, 80 % des patients n’ont manifesté aucun signe de MAT.
L’activité de la voie terminale du complément avait chuté de manière
significative une heure après le début du traitement et avait totalement
disparu chez tous les patients ayant reçu Soliris pendant toute la durée
du traitement (P < 0,001 pour les deux études jusqu’à la vingt-sixième
semaine 26).1

Des résultats positifs ont également été enregistrés en ce qui concerne
critères d’évaluation secondaires des deux essais. Le traitement Soliris
a considérablement amélioré les résultats rénaux et a été associé avec
des hausses continuelles chronologiques du débit de filtration
glomérulaire estimé (DFGe) qui permet de mesurer la fonction rénale.
Dans l’étude 1, la dialyse a dû être interrompue dans 80 % des cas (soit
quatre patients sur cinq) où elle était requise au début du traitement
par Soliris ; ces patients n’ont plus été dialysés pendant toute la
durée du traitement. En outre, une amélioration d’au moins un stade
pathologique de l’insuffisance rénale chronique (IRC) lors de la période
de prolongation de l’étude a été enregistrée chez 65 et 45 % des
patients respectivement de l’étude 1 et 2.1

Dans les deux études, les investigateurs ont remarqué que la fonction
rénale s’améliorait considérablement (P = 0,007 dans l’étude 1 et P <
0,001 dans l’étude 2) lorsque le traitement par Soliris était administré
plus tôt, ce qui indique que l’on peut obtenir de meilleurs résultats
cliniques et contrecarrer l’endommagement des organes.1

Dans les études 1 et 2, pour respectivement 24 et 35 % des patients,
aucune mutation génétique ni aucun autoanticorps lié à un facteur
régulateur du complément n’ont été identifiés (c.-à-d., pour compléter
le facteur H [CFH]). Il est important de signaler des résultats positifs
dans les deux études chez les patients traités par Soliris que la
présence de mutations génétiques ou autoanticorps CFH ait été identifiée
ou non.5 Ce résultat vient appuyer les recommandations des
auteurs selon lesquelles le traitement du SHUa par Soliris peut être
envisagé sans nécessairement disposer des résultats d’analyse de
mutation complémentaire.1

Les auteurs précisent que toute modification de la posologie approuvée
de Soliris exposerait les patients SUHa à un risque permanent continuel
de complications cliniques systémiques de la MAT, notamment de nombreux
dommages aux organes vitaux.1,9,10,11 5 patients sur les 18
qui ont raté des doses de Soliris lors des deux essais ou de l’étude
rétrospective ont expérimenté par la suite des complications graves de
la MAT.1,12,13 Ces résultats sont en phase avec la
physiopathologie de la maladie (activation incontrôlée du complément) et
souligne l’importance de contrôler sans cesse les patients et de
poursuivre le traitement Soliris pour réduire la MAT.1,13,14

Soliris semble avoir été bien toléré lors des deux études. Les effets
indésirables graves les plus graves (EIG) du traitement par Soliris
étaient l’hypertension accélérée, l’hypertension et la grippe. Aucune
hausse des EIG n’a été enregistrée lors d’un traitement continuel au
Soliris au cours duquel les taux d’EIG sont restés constants ou ont
chuté de la première période de vingt-six semaines aux périodes de
traitement suivantes. Aucun nouveau EIG n’est apparu après la première
période de vingt-six semaines de l’étude. Les EIG étaient similaires
dans les sous-groupes de patients, notamment 15 patients de
transplantation ayant reçu un traitement immunosuppresseur lors des
études. Tous les patients étaient vivants lors de l’arrêt du prélèvement
des données de l’étude.1 Les études ont été enregistrées sur
le site www.ClinicalTrials.gov
: NCT00844844,
NCT00844545,
NCT00844428,
NCT00838513.

À propos de Soliris

Soliris est le meilleur inhibiteur de la voie terminale du complément de
sa catégorie développé par Alexion, du laboratoire à la mise sur le
marché, en passant par l’approbation réglementaire. Soliris a été
homologué aux États-Unis, dans l’Union européenne et dans d’autres pays,
comme premier et unique traitement destiné aux patients atteints du
syndrome hémolytique et urémique atypique (SHUa). Soliris est indiqué
pour entraver la microangiopathie thrombotique (MAT) à médiation
complémentaire. Soliris n’est pas indiqué pour le traitement de patients
infectés par la bactérie Shiga Toxine Escherichia Coli souffrant du
syndrome hémolytique et urémique(STEC-SHU). Alexion est en train
d’évaluer l’innocuité et l’efficacité de Soliris pour le traitement des
patients atteints du STEC-SHU.

Soliris est également homologué aux États-Unis, dans l’Union européenne,
au Japon et dans d’autres pays, comme premier et seul traitement destiné
aux patients atteints d’hémoglobinurie paroxystique nocturne (PNH), un
trouble sanguin débilitant, ultra rare et potentiellement mortel
caractérisé par l’activation chronique incontrôlée du complément
(destruction des globules rouges sanguins. Soliris est indiqué pour
réduire l’hémolyse.

L’approche révolutionnaire de Alexion vis-à-vis de l’inhibition de la
voie terminale du complément a été récompensée par certains des plus
prestigieux prix de l’industrie pharmaceutique : le Prix Galien USA 2008
du meilleur produit technologique, avec de larges implications pour le
futur de la recherche biomédicale, et le Prix Galien France 2009 dans la
catégorie Médicaments traitant les maladies rares.

Pour en savoir plus à propos de Soliris, veuillez consulter le site www.soliris.net.

Informations importantes concernant la sécurité

Le résumé des caractéristiques du produit (RCP) de Soliris comprend une
mise en garde particulière et des précautions d’utilisation : à cause de
son mode d’action, l’utilisation de Soliris accroît le risque que le
patient soit atteint d’infection à méningocoque (Neisseria
meningitidis
). Ces patients peuvent courir le risque de contracter
une maladie appartenant à des sérogroupes rares (notamment Y, W135 et
X), bien que les infections à méningocoque peuvent être contractées,
quel que soit le sérogroupe. Afin de réduire le risque d’infection, tous
les patients doivent être vaccinés au moins deux semaines avant
l’administration du Soliris. Les patients atteints de PNH doivent être
vaccinés deux semaines avant le début du traitement au Soliris. Les
patients souffrant du SHUa déjà traités au Soliris moins de deux
semaines avant avoir reçu une vaccination antiméningococcique doivent
être traités de manière appropriée par des antibiotiques prophylactiques
pendant deux semaines après la vaccination. Les patients doivent être
vaccinés à nouveau conformément aux directives médicales actuelles
relatives à l’utilisation des vaccins. Les vaccins tétravalents contre
les sérotypes A, C, Y et W135 sont fortement recommandés, de préférence
conjugués.

La vaccination peut ne pas s’avérer suffisante pour prévenir une
infection à méningocoque. Une importance particulière devrait être
accordée aux directives officielles portant sur l’utilisation appropriée
d’agents antibactériens. Des cas d’infections à méningocoque graves
voire mortelles, ont été signalés chez des patients traités par Soliris.
Il faut surveiller les signes précoces d’infection à méningocoque chez
tous les patients ; ceux-ci doivent être immédiatement évalués si une
infection est suspectée, et traités par antibiotiques si besoin. Les
patients doivent être informés de ces signes et symptômes, et des
mesures doivent être prises afin de leur apporter les soins médicaux
nécessaires sans attendre. Les médecins doivent discuter des avantages
et des risques d’un traitement par Soliris avec les patients et leur
remettre une brochure de renseignements à l’intention des patients et
une carte de sécurité patient. Les réactions indésirables les plus
communes ou graves sont les maux de tête (qui se manifestent
principalement lors de la phase initiale), la leucopénie et l’infection
à méningocoque. Soliris ne devrait pas avoir de conséquence sur le
composant aplastique de l’anémie chez les patients atteints d’HPN.

Pour des informations posologiques complètes concernant Soliris, y
compris les mises en garde et précautions particulières, veuillez
consulter le résumé des caractéristiques du produit.

À propos d?Alexion

Alexion Pharmaceuticals, Inc. est une société biotechnologique qui se
consacre à servir les patients souffrant de troubles graves et ultra
rares, grâce à l’innovation, au développement et à la commercialisation
de produits thérapeutiques qui changent la vie. Alexion est le chef de
file mondial de l’inhibition du complément ; la Société a développé et
commercialise un traitement pour les patients atteints de HPN et de
SUHa, deux troubles débilitants, ultra rares potentiellement mortels
provoqués par l’activation chronique incontrôlée du complément. Ce
traitement est actuellement homologué dans plus de 40 pays pour le
traitement de HPN, ainsi qu’aux États-Unis et dans l’Union européenne
pour le traitement de SUHa. Alexion évalue actuellement d’autres
indications possibles pour ce médicament commercialisé et de développer
quatre autres produits candidats de biotechnologie hautement novateurs,
qui sont étudiés dans le cadre de recherches sur neuf troubles graves et
ultra rares autres que HPN et SUHa. Le présent communiqué de presse et
davantage de renseignements concernant Alexion Pharmaceuticals, Inc.
sont disponibles à l’adresse : www.alexionpharma.com.

Énoncés prospectifs

Le présent communiqué de presse contient des énoncés prospectifs,
dont des déclarations relatives au développement clinique prévu, aux
évènements réglementaires et commerciaux historiques, ainsi qu’aux
jalons, avantages potentiels en matière de médecine et de santé de
Soliris
® (eculizumab) pour le traitement
potentiel des patients atteints de HPN et SHUa. Les énoncés prospectifs
sont sujets à des facteurs susceptibles d’entraîner un écart entre les
résultats et projets d’Alexion et ceux attendus, notamment les décisions
des autorités réglementaires en matière d’autorisation de mise sur le
marché ou de restriction importante dans la commercialisation de Soliris
pour son indication actuelle ou de nouvelles indications potentielles,
ainsi que de nombreux autres risques énoncés de temps à autre dans les
rapports déposés par Alexion auprès de la Securities and Exchange
Commission dont, mais sans s’y limiter, les risques mentionnés dans le
rapport trimestriel d’Alexion sur le formulaire 10-Q de la période
achevée le 31 mars 2013. La société n’envisage nullement de mettre à
jour ces énoncés prospectifs, à la suite d’événements ou de
circonstances futurs, sauf dans la mesure où l’exigent les lois en
vigueur.

Références :

1 Legendre CM, Licht C, Muus P, et al. L’inhibiteur de la
voie terminale du complément eculizumab dans le syndrome hémolytique et
urémique atypique. N Engl J Med 2013;368(23):2169-81.

2 K, Amann K. Microangiopathie thrombotique : nouvelles
perspectives. Curr Opin Nephrol Hypertens 2010 May;19(3):242-7

3 Tsai HM. La biologie moléculaire de la microangiopathie
thrombotique. Kidney Int 2006 Jul;70(1):16-23.

4 Noris M, Remuzzi G. Le syndrome hémolytique et urémique
atypique. N Engl J Med. 2009;361:1676-87.

5 Noris M, Caprioli J, Bresin E, et al. Rôle relatif des
anomalies du complément génétique dans les syndromes hémolytiques et
urémiques sporadiques et familiaux, et leur impact sur le phénotype
clinique. Clin J Am Soc Nephrol. 2010;5:1844-59.

6 Caprioli J, Noris M, Brioschi S, et al. L’incidence des
mutations de MCP, CFH et IF sur le tableau clinique, la réponse au
traitement et le résultat. Blood. 2006;108:1267-9.

7 Eculizumab (Soliris). Silver Spring, MD: U.S. Food and Drug
Administration (FDA), Center for Drug Evaluation and Research (CDER);
Sept 23, 2011. Disponible à l’adresse : http://www.fda.gov/AboutFDA/CentersOffices/OfficeofMedicalProductsandTobacco/CDER/ucm273089.htm.

8 Caprioli J, Noris M, Brioschi S, et al. L’incidence des
mutations de MCP, CFH et IF sur le tableau clinique, la réponse au
traitement et le résultat. Blood. 2006;108:1267-9.

9 Zuber J, Le Quintrec M, Sberro-Soussan R, Loirat C,
Frémaux-Bacchi V, Legendre C. Nouvelles perspectives relatives au
syndrome hémolytique et urémique post-transplantation sous-rénale. Nat
Rev Nephrol
2011;7:23-35.

10 Larrea CF, Cofan F, Oppenheimer F, Campistol JM, Escolar
G, Lozano M. Efficacité de l’eculizumab dans le traitement du syndrome
hémolytique et urémique atypique récidivant post-transplantation rénale. Transplantation
2010;89:903-4.

11 Mache CJ, Acham-Roschitz B, Frémaux-Bacchi V, et al.
L’inhibiteur du complément eculizumab dans le syndrome hémolytique et
urémique atypique. Clin J Am Soc Nephrol 2009;4:1312-6.

12 Recueil pharmaceutique électronique. Soliris : résumé des
caractéristiques du produit. Disponible à l’adresse :http://www.medicines.org.uk/emc/medicine/19966/SPC/soliris.

13 Informations posologiques de Soliris®
(eculizumab) pour les États-Unis. Cheshire, CT: Alexion Pharmaceuticals,
Inc.; 2012. Disponible à l’adresse : http://soliris.net/sites/default/files/assets/soliris_pi.pdf.

14 Zuber J, Fakouri F, Roumenina LT, Loirat C, Frémaux-Bacchi
V. Utilisation de l’eculizumab pour le traitement du syndrome
hémolytique et urémique atypique et des néphropathies glomérulaires C3.Nat
Rev Nephrol
2012;8:643-57.

Le texte du communiqué issu d?une traduction ne doit d?aucune manière
être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse
foi est celle du communiqué dans sa langue d?origine. La traduction
devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

Soliris® obtient des résultats notablement supérieurs chez des patients atteints de SUHa lors d'études pivots publiées dans le New England Journal of Medicine

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