Résultats semestriels 2013-2014 :

Activité consolidée stable

Forte progression de l'EBITDA

Résultat opérationnel courant à l'équilibre

Paris, le 30 juin 2014 – Société Française de Casinos publie ses résultats semestriels 2013-2014 (période de novembre 2013 à avril 2014).

Les comptes consolidés semestriels du Groupe ont été arrêtés par le Conseil d'Administration du 26 juin 2014.

Le premier semestre de l'exercice 2013-2014 s'est inscrit dans la continuité de l'exercice précédent. Dans un contexte économique toujours difficile et fortement baissier pour l'ensemble des casinos français, le Groupe a su faire preuve de résistance en enregistrant une légère progression de son activité casino, grâce notamment aux investissements dans le parc de machines-jeux. L'activité jeux virtuels, dont la cession est en cours, est en recul en raison de la réduction du nombre de simulateurs dans l'un des centres exploité par le Groupe. 

Activité Casinos 1^er semestre 2013-2014
Société Française de Casinos a enregistré pour son activité casinos un chiffre d'affaires consolidé semestriel en progression de +0,6%, à 8,7 M€ contre 8,6 M€. Le second trimestre a toutefois montré un ralentissement par rapport au premier.

Malgré une baisse de la fréquentation de 4,9% en moyenne, le Produit Brut des machines à sous s'est établi à 7,1 M€ en croissance de 0,6%, grâce aux investissements du Groupe dans son parc de machines à sous. De plus le chiffre d'affaires hors jeux est resté très solide à 1,3 M€ en croissance de 2,3% bénéficiant des différentes animations mises en place dans les casinos du Groupe.

Activité jeux virtuels 1^er semestre 2013-2014
L'activité Jeux Virtuels est en recul de 6,4% sur ce semestre, dû en grande partie à la réduction du parc de simulateurs sur un site exploitée à Marseille suite à une rénovation. Le chiffre d'affaires des autres implantations du Groupe est resté globalement stable.

Résultat semestriels 2013-2014
 

Le Groupe a amélioré sensiblement ses résultats sur la période. L'EBITDA 2013-2014 semestriel s'élève ainsi à 683 K€, en hausse de 73,5% par rapport au premier semestre 2012-2013. Cette performance repose sur la poursuite du programme des réductions de coûts et le retour à l'équilibre du casino de Collioure qui avait contribué négativement à la rentabilité en 2012-2013.

Le résultat opérationnel courant est à l'équilibre contre 292 K€ de perte sur le premier semestre en 2012-2013.

Après comptabilisation des charges financières et de l'impôt, le résultat net part du Groupe ressort à -157 K€ contre -149 K€ pour l'exercice 2012-2013 qui avait bénéficié d'un produit exceptionnel de 302 K€.

Structure financière 
 

Au 30 avril 2014, les capitaux propres s'établissent à 15 912 K€. L'endettement financier net s'établit à 7 976 K€, constitué majoritairement du passif échelonné, auquel a été ajoutée une nouvelle créance de 900 K€ suite au recours d'un ex-associé de la Société CECPAS qui exploite le casino de Collioure. Suite à un arrêt de la Cour d'Appel de Montpellier, cette créance a été incluse dans le plan qui a été homologué par le Tribunal de commerce de Perpignan. Le Groupe a engagé un pourvoi en cassation contre cet arrêt.

La Société Française de Casinos décaissera comme prévu le 21 juillet 2014 sa troisième échéance de son plan de continuation fixée à 398 K€.

Perspectives 2013-2014 sur l'activité casinos
 

Le contexte économique reste toujours peu favorable aux activités casinos du Groupe, qui n'anticipe pas à ce jour d'amélioration sensible en termes de fréquentation et de hausse du panier moyen sur l'exercice en cours.

Le Groupe poursuit ses efforts pour optimiser ses coûts, en menant des négociations avec les collectivités locales afin de réduire les prélèvements et assurer la pérennité des établissements. Un accord en ce sens a déjà été signé avec la mairie de Port la Nouvelle.

Le Groupe poursuit en parallèle ses investissements afin de renforcer son offre avec par exemple l'installation d'une Roulette Electronique à Gruissan, ou l'ouverture à Collioure d'un nouveau restaurant et d'une terrasse fumeurs avec 7 nouvelles machines à sous.

Par ailleurs, le Groupe annonce être entré en négociation pour la reprise de casinos avec l'objectif de générer des économies d'échelle et d'améliorer ainsi la rentabilité de l'ensemble.

Point sur la cession de l'activité « jeux virtuels »
 

Société Française de Casinos rappelle avoir signé un protocole d'accord pour la cession de son pôle de Jeux Virtuels « La Tête dans les Nuages » avec un acteur de référence, futur leader du marché grâce à cette opération.

Cette dernière est soumise à des conditions suspensives dont certaines ont déjà été levées comme l'obtention par l'acquéreur de son financement. Société Française de Casinos a par ailleurs reçu la convocation du Tribunal de Commerce de Paris pour une audience le 2 juillet pour la levée de l'inaliénabilité grevant le fonds de commerce du Groupe.

Le Groupe est confiant pour conclure définitivement cette opération avant la fin de l'exercice. Cette opération renforcera les ressources financières du Groupe, lui permettant ainsi de poursuivre ses investissements tout en faisant face aux échéances financières du plan de continuation en cours.

Contacts
 

A propos de Société Française de CasinosLa Société Française de Casinos se positionne comme un acteur de référence du jeu en France s'appuyant sur deux pôles d'activité :

• Casinos : 4 établissements localisés à Gruissan (Aude), intégrant un hôtel, Châtel-Guyon (Puy de Dôme), Port-la-Nouvelle (Aude) et Collioure (Pyrénées Orientales)
• Jeux virtuels : SFC poursuit l'exploitation de l'enseigne la Tête dans les Nuages et développe des partenariats portant sur l'implantation d'espaces de jeux avec des groupes tels que la Compagnie des Alpes (Parc Astérix, La Mer de Sable), bowlings et cinémas multiplexes.

La société est cotée sur le compartiment C du marché Euronext Paris d'Euronext. Code ISIN : FR0010209809 – MNEMO : SFCA. 

Le Conseil de Surveillance réuni le 28 mai 2014 a examiné les comptes semestriels établis selon les règles et principes comptables français et arrêtés au 31 mars 2014 par le Directoire.

Au cours du premier semestre la production s'est établie à 28,16 M€ contre 37,34 M€ au 31 mars 2013.

Si le chiffre d'affaires à l'exportation progresse de plus de 38 %, en revanche l'activité domestique recule de 52 %, confirmant le net ralentissement du rythme des programmes d'automatisation en France constaté au premier trimestre.

Le taux de marge brute est en progression significative pour sa part en raison essentiellement d'un nouveau déstockage important et exceptionnel lié au dénouement de nombreux contrats.

Malgré une bonne maîtrise des coûts, le taux de marge après frais de personnel et charges externes diminue sous l'effet de la baisse du niveau d'activité.

Le résultat financier, constitué pour l'essentiel de la rémunération de la trésorerie de l'entreprise, ressort à 0,39 M€ contre 0,38 M€ au 31 mars 2013.

Le résultat net s'établit pour sa part à 4,20 M€ et vient renforcer une structure financière saine caractérisée par 58,9 M€ de fonds propres (contre 50,7 M€ au 31/03/2013), une trésorerie nette de 59,3 M€ (53,8 M€ au 31/03/2013) et une absence totale d'endettement.
Cette indépendance financière permettra à GEA de poursuivre ses efforts de prospection commerciale, ses investissements techniques et ses efforts commerciaux stratégiques, notamment à l'exportation.

Faits marquants :
A l'exportation GEA a poursuivi ses réalisations en cours en Croatie, au Brésil, en Chine et en Côte d'Ivoire.

Elle a également poursuivi avec succès la réalisation de ses deux projets au Mexique (autoroutes Mexico-Toluca et Mexico-Acapulco) ainsi que son projet d'équipement du périphérique Nord de Saint Petersbourg en Russie.

Le premier projet au Bengladesh a été mis en service avec succès.

La société a également achevé la réalisation de son premier contrat au Kazakhstan combinant voies automatiques tous paiements et système free-flow GEA.

Plusieurs contrats ont enfin été signés au Brésil et au Maroc.

En France, GEA a poursuivi la fourniture d'équipements de péage pour la quasi-totalité des sociétés d'autoroutes.

Dans le domaine des parkings la société des Aéroports de Lyon (ADL) a décidé d'affermir la tranche conditionnelle du contrat pour l'équipement des parcs de l'aéroport international de Lyon Saint Exupéry.

Dans le cadre des contrats pluriannuels signés l'an dernier, de nouvelles commandes ont été enregistrées avec les Groupes ABERTIS (SANEF), EIFFAGE (AREA) et VINCI (VINCI AUTOROUTES).

Le carnet de commandes fermes, exporté à plus de 44 %, s'élevait au 31 mars 2014 à 47 M€ contre 57 M€ un an auparavant.

Code ISIN : FR 00000 53035

Vos contacts

La Promotion à +22% accroît les performances du Groupe

Résultat opérationnel du semestre à 1,2 M€
avec des investissements importants engagés pour le futur

Le développement hors de France s'accélère

La marge brute reste à un niveau élevé de 27,2%

Sur le 1^er semestre 2013/2014, CAPELLI surperforme le marché et maintient une bonne dynamique grâce au développement de son activité de Promotion immobilière qui affiche de belles performances.

Le chiffre d'affaires du semestre s'établit à 21,4 M€ avec une activité Promotion qui croît de 22% à 15,4 M€ et représente désormais 72% du chiffre d'affaires total du Groupe.

La marge brute est de très bon niveau et s'établit à 5,8 M€, après prise en compte d'une activité Lotissement qui reste inférieure à son niveau historique. Elle représente 27,2% du chiffre d'affaires contre 27,9% au 31 mars 2013.

Le résultat opérationnel s'établit à 1,2 M€ et représente 5,4% du chiffre d'affaires alors même qu'il intègre des charges supplémentaires liées au développement du Groupe pour environ 0,5 M€. Sur le semestre, CAPELLI s'est en effet structuré pour accompagner le développement de son activité de Promotion Immobilière et son déploiement hors de France.

Ainsi, après avoir créé en février 2013 une filiale à Genève, où plusieurs programmes immobiliers sont en phase de lancement, CAPELLI a finalisé en octobre dernier la création de sa filiale Luxembourgeoise. Cette politique de développement entreprise en Europe du Nord, devenue nécessaire dans un marché français actuellement en décélération, nécessite des investissements soutenus qui deviendront créateurs de valeur à horizon 2015.

Le résultat financier ressort à – 0,5 M€. Il prend en compte les charges financières associées à la levée de fonds de 11,7 M€ réalisée dans le cadre d'un emprunt obligataire (IBO) fin 2012. Le résultat net consolidé part du Groupe s'établit quant à lui à 0,4 M€.

Le flux de trésorerie généré par l'activité atteint 1,9 M€ et confirme la capacité de CAPELLI à générer du cash.

Compte de résultat semestriel consolidé (1^er avril au 30 septembre)

La structure financière du Groupe est très solide

Les fonds propres du Groupe s'élèvent à 33,8 M€. L'endettement net s'établit à 8,7 M€, il varie essentiellement sous l'effet de l'accroissement des financements dédiés aux opérations de Promotion et de la mise en paiement d'un dividende de 1,2 M€. Le gearing (endettement net sur fonds propres) ressort à 25,6% et démontre la solidité financière du Groupe.

L'emprunt obligataire réalisé fin 2012 est utilisé à hauteur de 6,2 M€ au 30 septembre 2013 contre 3,3 M€ au 31 mars 2013. Comme prévu, il permet principalement de financer les apports en fonds propres sur les opérations immobilières en cours.

Hors IBO, l'endettement net du Groupe reste faible et ressort en baisse de 0,3 M€ à 2,5 M€, soit un gearing de 7,3% au 30 septembre contre 7,9% au 31 mars 2013.

L'activité Promotion va continuer à tirer le développement du Groupe

Le backlog arrêté au 12 novembre 2013 s'élève à 80,4 M€. La part du Lotissement est de 32 % et confirme les tendances enregistrées au 1^er semestre. Le backlog Promotion s'établit quant à lui à 54,6 M€ et démontre la bonne orientation de l'activité pour les mois à venir. Le développement de l'activité du Groupe sur la zone Ile de France se confirme et devrait s'accélérer.

L'évolution du niveau de lots sous compromis d'achat, en progression de 15,5% au 12 novembre à 256,2 M€, sécurise le développement futur du Groupe et démontre l'efficacité de sa politique de communication ainsi que sa capacité à capitaliser sur son savoir-faire historique en matière de prospection foncière.

L'activité de marchand de biens, démarrée en 2013 et qui permet à CAPELLI de réhabiliter des immeubles anciens ou récents en appartements, va être renforcée compte tenu du succès qu'elle remporte notamment auprès d'investisseurs français et étrangers.

D'ici 3 ans, CAPELLI s'est fixé pour objectif de réaliser 50% de son activité Promotion hors de France

Dans un marché français atone, CAPELLI a décidé de concéder des investissements importants pour accélérer et assurer son développement en se tournant vers l'Europe du Nord. Après avoir lancé une activité de Promotion immobilière en Suisse, le Groupe vient de signer son premier programme immobilier au Luxembourg pour un démarrage en 2014. CAPELLI étudie également d'autres opportunités de déploiement sur des zones à fort potentiel.

Prochaine réunion : le 5 décembre 2013 à 11h30 à la SAF, 24 rue de Penthièvre, 75008 Paris

Prochaine publication : Chiffre d'affaires du 3^ème trimestre 2013/2014, le 13 février 2014 après bourse

A propos du Groupe CAPELLI

PROMOTEUR AMENAGEUR, le groupe familial CAPELLI bénéficie d'une expérience reconnue de 37 ans en détection, acquisition et viabilisation de terrains destinés à la construction et commercialisés auprès d'une clientèle principalement composée de primo-accédants. Véritable partenaire des communes, le Groupe CAPELLI s'inscrit comme un créateur d'urbanisation capitalisant sur ses savoirs faire, la qualité de son process et son activité de promotion en maisons de ville et villas duplex. Coté sur Euronext Paris Compartiment C – Code Isin : FR 0010127530 – Bloomberg CAPLI FP – Reuters CAPLI. PA

Contacts
Christophe Capelli – Président Directeur Général
Rodolphe Peiron – Directeur Général Adjoint
Mathieu Baiardi – Directeur Financier
Tel : 04 78 47 49 29 – www.groupe-capelli.com

Nota : Le backlog correspond à la somme des réservations en portefeuille dans le Groupe et des lots vendus (acte notarié passé) sur l'exercice en cours, multiplié par leur prix de vente HT. Le backlog représente le chiffre d'affaires potentiel sur l'exercice en cours et les suivants. En effet, compte tenu du processus de vente, une réservation peut se transformer à une échéance allant de 3 à 18 mois.