Ces présentations font état des avancées prometteuses dans le traitement du carcinome hépatocellulaire avancé, du cancer du pancréas métastatique et des tumeurs neuroendocrines.

PARIS–(BUSINESS WIRE)–Regulatory News:

Ipsen (Euronext : IPN ; ADR : IPSEY) a annoncé aujourd’hui que des essais cliniques sur le cabozantinib (Cabometyx®) dans le traitement de divers types de tumeurs feront l’objet de quatre présentations lors du Congrès 2019 de l’European Society for Medical Oncology (ESMO) qui se tiendra du 27 septembre au 1er octobre à Barcelone, en Espagne.

« La mission d’Ipsen est d’accélérer la découverte, le développement et la commercialisation de nouveaux médicaments. Nous sommes ravis de communiquer les données de ces nouvelles études lors de l’ESMO et de présenter les avancées potentielles dans le traitement de certains cancers pour lesquels les options thérapeutiques sont limitées afin de ne négliger aucun patient », a déclaré le Dr Alexandre Lebeaut, Vice-Président Exécutif, R&D et Chief Scientific Officer d’Ipsen.

Principales études sur des médicaments d’Ipsen présentés lors de l’ESMO 2019 :

  • Aperçu de l’étude pivotale de phase III (COSMIC-312) sur le cabozantinib (C) en combinaison avec l’atézolizumab versus sorafénib chez des patients atteints de carcinome hépatocellulaire avancé (CHCa) n’ayant pas reçu de traitement anticancéreux systémique antérieur
  • Nouvelle analyse QTWiST de l’étude de phase III CELESTIAL sur l’effet du cabozantinib en traitement de deuxième ligne sur l’état de santé de patients atteints de CHCa post-sorafénib

« Nous observons des avancées dans les programmes de recherche sur les cancers difficiles à traiter, comme le cancer du poumon à petites cellules et l’adénocarcinome pancréatique. Parallèlement, nous nouons des partenariats pour catalyser et amplifier nos efforts afin d’accélérer le développement de nouvelles stratégies de traitement pour les patients dont les besoins médicaux sont importants », a déclaré Bartek Bednarz, Senior Vice-President, Franchise Oncologie d’Ipsen. « Le Congrès 2019 de l’ESMO marque un tournant de notre partenariat avec Exelixis pour le développement du cabozantinib (Cabometyx®). En effet, nous avons dépassé 100 abstracts communs sur le cabozantinib acceptés dans divers congrès médicaux, leur présentation mettant en évidence notre vision commune en matière de traitement des cancers difficiles à traiter. »

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Aperçu des principales présentations concernant des médicaments Ipsen en développement lors du Congrès 2019 de l’ESMO :

Médicament

Titre de l’abstract

Numéro/heure de l’abstract (CEST)

Cabometyx®

(cabozantinib)

 

 

Effect of second-line cabozantinib on health states for patients with advanced hepatocellular carcinoma (aHCC) after sorafenib: QTWiST analysis from the CELESTIAL study

Abstract 754P – Présentation de poster – Dimanche 29 septembre, 12h00 ; Hall 4

Outcomes based on plasma biomarkers for the phase III CELESTIAL trial of cabozantinib (C) versus placebo (P) in advanced hepatocellular carcinoma (aHCC)

Abstract 678PD – Discussion de poster – Catégorie : Tumeurs gastrointestinales, non colorectales ; Discussion de poster – Samedi 28 septembre, 17h10 ; Hall 7

Prognostic and predictive factors from the phase III CELESTIAL trial of cabozantinib (C) versus placebo (P) in previously treated advanced hepatocellular carcinoma (aHCC)

Abstract 749P – Présentation de poster – Dimanche 29 septembre, 12h00 ; Hall 4

Phase III (COSMIC-312) study of cabozantinib (C) in combination with atezolizumab vs sorafenib in patients (pts) with advanced hepatocellular carcinoma (aHCC) who have not received prior systemic anticancer therapy

Abstract 833TiP – Présentation de poster – Dimanche 29 septembre, 12h00 ; Hall 4

Onivyde® (injection d’irinotécan liposomal) (nal-IRI/irinotécan liposomal)

Integrated population pharmacokinetic modelling of liposomal irinotecan in patients with various tumour types, including untreated metastatic pancreatic cancer (mPC)

Abstract 691P – Présentation de poster – Dimanche 29 septembre, 12h00 ; Hall 4

Somatuline® Autogel® (lanréotide autogel/depot)

Baseline characteristics from CLARINET FORTE: Evaluating lanreotide autogel (LAN) 120 mg every 14 days in patients with progressive pancreatic or midgut neuroendocrine tumours during a standard first-line LAN regimen

Abstract 1388P – Présentation de poster – Dimanche 29 septembre, 12h00 ; Hall 4

Principale présentation d’étude parrainée par l’investigateur concernant un médicament Ipsen en développement lors du Congrès 2019 de l’ESMO :

Médicament

Titre de l’abstract

Numéro/heure de l’abstract (CEST)

Onivyde® (injection d’irinotécan liposomal) (nal-IRI/irinotécan liposomal)

Multicenter randomized phase II trial of 5-Fluorouracil/leucovorin (5-FU/LV) with or without liposomal irinotecan (nal-IRI) in metastatic biliary tract cancer (BTC) as second-line therapy after progression on gemcitabine plus cisplatin (GemCis): NIFTY trial

Abstract 829TiP – Présentation de poster – Dimanche 29 septembre, 12h00 ; Hall 4

À PROPOS DES PRODUITS D’IPSEN

Ce communiqué de presse fait référence à des utilisations expérimentales de produits d’Ipsen. Les indications et les autorisations d’utilisation des produits varient selon la juridiction. Veuillez consulter le Résumé des caractéristiques du produit (SmPC)/la notice pour prendre connaissance de l’ensemble des indications et informations de sécurité.

À PROPOS D’ONIVYDE® (injection d’irinotécan liposomal)

ONIVYDE® est une formulation d’encapsulation de l’irinotécan, disponible sous forme de flacon-dose unique à 43 mg/10 mL. Cette forme liposomale est destinée à augmenter la durée d’exposition de la tumeur à l’irinotécan et au SN-38, son métabolite actif.

Le 3 avril 2017, Ipsen a finalisé l’acquisition d’ONIVYDE® de Merrimack Pharmaceuticals et obtenu les droits exclusifs de commercialisation pour les indications actuelles et futures d’ONIVYDE® aux États-Unis. Selon l’accord de licence exclusive conclu avec Ipsen Biopharm Ltd, Servier1 est responsable du développement et de la commercialisation d’ONIVYDE® en dehors des États-Unis et de Taïwan.

ONIVYDE® est approuvé par les autorités réglementaires américaines (FDA) en association avec le fluorouracile (5-FU) et la leucovorine (LV) dans le traitement des patients atteints d’un adénocarcinome métastatique du pancréas dont la maladie a progressé après un traitement comportant la gemcitabine. Limites d’utilisation : ONIVYDE® n’est pas indiqué en monothérapie dans le traitement des patients atteints d’un adénocarcinome métastatique du pancréas.

[1] Servier est un laboratoire pharmaceutique international, gouverné par une fondation à but non lucratif, dont le siège se trouve en région parisienne.

INFORMATIONS DE SÉCURITÉ IMPORTANTES – ÉTATS-UNIS

MISE EN GARDE (BOXED WARNINGS) : NEUTROPÉNIE SÉVÈRE ET DIARRHÉE SÉVÈRE

Un sepsis neutropénique d’issue fatale se manifeste chez 0,8 % des patients traités avec ONIVYDE. On observe une neutropénie fébrile sévère ou engageant le pronostic vital ou encore un sepsis dans 3 % des cas, et une neutropénie sévère ou engageant le pronostic vital dans 20 % des cas de patients recevant un traitement d’ONIVYDE® en association avec le 5-FU et à la LV.

S’abstenir de tout cycle de traitement par ONIVYDE® en présence d’un nombre absolu de neutrophiles inférieur à 1 500/mm3 ou d’une neutropénie fébrile. Surveiller périodiquement la numération formule sanguine au cours du traitement.

Des cas de diarrhée sévère ont été observés chez 13 % des patients traités avec ONIVYDE
® en association avec 5-FU/LV. Ne jamais prescrire ONIVYDE® chez les patients présentant une occlusion intestinale. S’abstenir de tout cycle de traitement par ONIVYDE® en cas de diarrhée de grade 2 à 4. Administrer de la lopéramide en cas de diarrhée tardive quelle que soit la sévérité Administrer de l’atropine, si ce n’est pas contre-indiqué, en cas de diarrhée précoce, quelle que soit la sévérité.

CONTRE-INDICATIONS

ONIVYDE® est contre-indiqué chez les patients ayant des antécédents d’hypersensibilité sévère à l’ONIVYDE® ou à l’irinotécan HCI.

Mises en garde et précautions d’emploi

Neutropénie sévère : voir MISE EN GARDE. Au cours d’un traitement par ONIVYDE®/5-FU/LV, l’incidence d’une neutropénie de grades 3 et 4 est accrue chez les sujets de type asiatique (18/33 [55%]) comparativement à ceux de type caucasien (13/73 [18 %]). Une neutropénie fébrile et un sepsis neutropénique ont été observés chez 6 % des patients asiatiques contre 1 % des patients caucasiens.

Diarrhée sévère : voir MISE EN GARDE. Une diarrhée tardive (survenue > 24 heures après chimiothérapie [9 %]) et une diarrhée précoce (survenue ≤ 24 heures après chimiothérapie [3 %], parfois accompagnée d’autres symptômes liés à une réaction cholinergique), sévère ou engageant le pronostic vital, ont été constatées.

Pneumopathie interstitielle diffuse (PID) : l’irinotécan HCI peut entraîner une PID sévère et mortelle. Le traitement par ONIVYDE® doit être immédiatement interrompu en cas d’apparition d’une dyspnée, de dyspnée évolutive, de toux et de fièvre. Arrêter tout traitement par ONIVYDE® chez les patients pour lesquels le diagnostic de pneumopathie interstitielle diffuse a été confirmé.

Réactions d’hypersensibilité sévères : l’irinotécan HCl peut entraîner des réactions d’hypersensibilité sévères, dont des réactions anaphylactiques. Arrêter définitivement tout traitement par ONIVYDE® chez les patients présentant une réaction d’hypersensibilité sévère.

Toxicité embryonnaire et fœtale : ONIVYDE® présente un risque de toxicité fœtale, lorsque celui-ci est administré chez la femme enceinte. Il convient d’informer les femmes en âge de procréer qu’elles doivent recevoir une méthode de contraception efficace au cours du traitement par ONIVYDE®, et pendant 1 mois après l’arrêt du traitement.

Effets indésirables

  • Les effets indésirables les plus fréquents (≥ 20 %) ont été : diarrhée (59 %), fatigue/asthénie (56 %), vomissements (52 %), nausées (51 %), perte d’appétit (44 %), stomatite (32 %) et pyrexie (23 %).
  • Les effets indésirables de grade 3/4 les plus fréquents (≥ 10 %) ont été : diarrhée (13 %), fatigue/asthénie (21 %) et vomissements (11 %).
  • Les effets indésirables ont conduit à un arrêt permanent du traitement par ONIVYDE® chez 11 % des patients traités par ONIVYDE/5-FU/LV. Les effets indésirables ayant conduit le plus fréquemment à un arrêt du traitement par ONIVYDE® ont été : diarrhée, vomissements et sepsis.
  • Des réductions de la dose d’ONIVYDE® liées à un effet indésirable sont survenues chez 33 % des patients ayant reçu ONIVYDE/5-FU/LV. Les effets indésirables ayant conduit le plus fréquemment à une réduction de dose ont été : neutropénie, diarrhée, nausées et anémie.
  • Le traitement par ONIVYDE® a été arrêté ou retardé en raison d’effets indésirables chez 62 % des patients traités par ONIVYDE/5-FU/LV. Les effets indésirables ayant conduit le plus fréquemment à un arrêt ou à un retard de traitement ont été : neutropénie, diarrhée, nausées et anémie.
  • Les anomalies d’analyses biologiques de laboratoire les plus fréquentes (≥ 20 %) ont été : anémie (97 %), lymphopénie (81 %), neutropénie (52 %), élévations de ALT (51 %), hypoalbuminémie (43 %), thrombocytopénie (41 %), hypomagnésémie (35 %), hypokaliémie (32 %), hypocalcémie (32 %), hypophosphatémie (29 %), et hyponatrémie (27 %).

Interactions médicamenteuses

  • Il est recommandé de ne pas utiliser, autant que possible, des inducteurs de l’enzyme CYP3A4 et de substituer tout traitement concomitant par des thérapies n’ayant aucune action sur l’expression des enzymes, au moins 2 semaines avant d’administrer ONIVYDE®.
  • Il est conseillé de ne pas utiliser des inhibiteurs du CYP3A4 ou de l’UGT1A1, autant que possible, et de cesser toute association avec des inhibiteurs du CYP3A4 au moins 1 semaine avant le début du traitement.

Populations spéciales

  • Grossesse et femme en âge de procréer : voir MISES EN GARDE et PRÉCAUTIONS D’EMPLOI. Les hommes dont les partenaires sont des femmes en âge de procréer doivent faire usage de préservatifs au cours du traitement par ONIVYDE®, et pendant 4 mois après l’arrêt du traitement.
  • Allaitement : les femmes ne doivent pas allaiter pendant le traitement et dans le mois suivant la dernière administration d’ONIVYDE®.

Veuillez consulter les Informations complètes relatives à la prescription d’ONIVYDE® aux États-Unis.

À PROPOS DE CABOMETYX® (cabozantinib)

CABOMETYX® n’est pas commercialisé par Ipsen aux États-Unis.

CABOMETYX® 20 mg, 40 mg et 60 mg, comprimés pelliculés non sécables

Principe actif : cabozantinib (S)-malate 20 mg, 40 mg et 60 mg

Autres composants : lactose

Indications : aux États-Unis, les comprimés de CABOMETYX® sont approuvés pour le traitement de patients atteints de carcinome du rein avancé et pour le traitement de patients atteints de carcinome hépatocellulaire (CHC) traités antérieurement par sorafénib.

Les comprimés de CABOMETYX® sont également approuvés dans l’Union européenne, en Norvège, en Islande, en Australie, en Suisse, en Corée du Sud, au Canada, au Brésil et à Taïwan pour le traitement des adultes atteints de RCC avancé ayant reçu au préalable une thérapie ciblant le facteur de croissance de l’endothélium vasculaire (VEGF) ; dans l’Union européenne pour le traitement des adultes atteints de RCC avancé à risque intermédiaire ou élevé et non traités antérieurement ; au Canada pour le traitement des patients adultes atteints de RCC avancé ayant reçu au préalable une thérapie ciblant le facteur de croissance de l’endothélium vasculaire (VEGF) ; et dans l’Union européenne, en Norvège et en Islande pour le traitement des adultes traités antérieurement par sorafénib.

CABOMETYX® n’est pas autorisé chez les patients atteints de CHC avancé n’ayant jamais été traités.

Posologie et mode d’administration : la dose recommandée de CABOMETYX® est de 60 mg une fois par jour. Le traitement doit être poursuivi aussi longtemps qu’un bénéfice clinique est observé pour le patient ou jusqu’à la survenue d’une toxicité inacceptable. La prise en charge des effets indésirables suspectés d’être liés au traitement peut nécessiter une interruption temporaire du traitement par CABOMETYX® et/ou une réduction de la dose. Pour plus d’informations sur la modification de la dose, veuillez consulter le Résumé des caractéristiques du produit (SmPC). CABOMETYX® est délivré sous forme de comprimés pour administration orale. Les comprimés doivent être avalés entiers, sans les écraser. Il convient d’informer les patients qu’ils ne doivent rien manger au moins 2 heures avant et jusqu’à 1 heure après la prise de CABOMETYX®.

Contre-indications : hypersensibilité à la substance active ou à l’un des excipients mentionnés dans le Résumé des caractéristiques du produit (SmPC).

Mises en garde spéciales et précautions d’emploi :

Surveiller attentivement la toxicité au cours des 8 premières semaines de traitement. Les effets indésirables qui généralement surviennent précocement sont : hypocalcémie, hypokaliémie, thrombocytopénie, hypertension, syndrome d’érythrodysesthésie palmo-plantaire (SEPP), protéinurie et épisodes gastrointestinaux (GI).

Perforations et fistules : des cas graves de perforations gastro-intestinales (GI) et de fistules, parfois d’issue fatale, ont été observées avec le cabozantinib. Les patients souffrant de maladies inflammatoires de l’intestin, infiltration tumorale gastro-intestinale ou de complications d’une chirurgie digestive antérieure doivent être évalués avant le début d’un traitement et surveillés. Si une perforation ou une fistule qui ne peuvent pas être prise en charge surviennent, arrêter le traitement par cabozantinib.

Événements thromboemboliques : utiliser avec précaution chez les patients présentant des facteurs de risque ou ayant un antécédent d’évènements thromboemboliques ; arrêter le traitement en cas d’infarctus aigu du myocarde (MI) ou toute autre complication thromboembolique artérielle significative.

Hémorragie : déconseillé chez les patients qui présentent ou sont à risque de présenter une hémorragie sévère.

Complications de la cicatrisation des plaies : le traitement par le cabozantinib doit être arrêté au moins 28 jours avant une opération chirurgicale programmée, y compris une chirurgie dentaire.

Hypertension : surveiller la tension artérielle (BP) ; réduire la dose si l’hypertension persiste et arrêter le traitement en cas d’hypertension non contrôlée ou de crise hypertensive avérée

Syndrome d’érythrodysesthésie palmoplantaire (SEPP) : interrompre le traitement si un SEPP sévère survient.

Protéinurie : arrêter le traitement chez les patients qui présentent un syndrome néphrotique.

Syndrome de leucoencéphalopathie postérieure réversible (LEPR) : arrêter le traitement chez les patients qui présentent un LEPR.

Prolongation de l’intervalle QT : utiliser avec précaution chez les patients ayant un antécédent d’allongement de l’intervalle QT, chez les patients prenant des traitements antiarythmiques ou chez les patients ayant des maladies cardiaques préexistantes.

Excipients : ne pas administrer le traitement chez les patients présentant une intolérance au galactose, un déficit en lactase de Lapp ou un syndrome de malabsorption du glucose ou du galactose

Interactions médicamenteuses : le cabozantinib est un substrat du CYP3A4. Les puissants inhibiteurs du CYP3A4 peuvent entraîner une augmentation de la concentration plasmatique du cabozantinib (par ex., ritonavir, itraconazole, érythromycine, clarithromycine, jus de pamplemousse). L’administration concomitante d’inducteurs du CYP3A4 peut entraîner une diminution de la concentration plasmatique du cabozantinib (par ex., rifampicine, phénytoïne, carbamazépine, phénobarbital, millepertuis). Le cabozantinib peut augmenter les concentrations plasmatiques des substrats de la P-glycoprotéine (par ex., fexofénadine, aliskirène, ambrisentan, dabigatran etexilate, digoxine, colchicine, maraviroc, posaconazole, ranolazine, saxagliptine, sitagliptine, talinolol, tolvaptan). Les inhibiteurs de la MRP2 peuvent entraîner des augmentations des concentrations plasmatiques de cabozantinib (par ex., cyclosporine, éfavirenz, emtricitabine). Les agents chélateurs des sels biliaires peuvent avoir un effet sur l’absorption ou la réabsorption, pouvant potentiellement réduire l’exposition du cabozantinib. Pas d’ajustement de la dose en cas d’administration concomitante d’agents modificateurs du pH gastrique. Une interaction associée au déplacement des protéines plasmatiques est possible avec la warfarine. Dans ce cas, les valeurs INR doivent être surveillées.

Femmes en âge de procréer / contraception chez les hommes et les femmes : utiliser une méthode efficace de contraception (contraception orale associée à une méthode mécanique) chez les patients hommes et femmes et leurs partenaires pendant le traitement et pendant au moins 4 mois après l’arrêt du traitement.

Grossesse et allaitement : CABOMETYX® ne doit pas être utilisé durant la grossesse, sauf si l’état clinique de la patiente le justifie. Allaitement : ne pas allaiter pendant le traitement et pendant au moins 4 mois après l’arrêt du traitement. Conduite de véhicules et utilisation de machines : la prudence est requise.

Effets indésirables :

Les effets indésirables graves les plus fréquents sont : diarrhée, SEPP, embolies pulmonaires, fatigue et hypomagnésémie. Très fréquents (>1/10) : anémie, lymphopénie, neutropénie, thrombocytopénie, hypothyroïdie, déshydratation, diminution de l’appétit, hyperglycémie, hypoglycémie, hypophosphatémie, hypoalbuminémie, hypomagnésémie, hyponatrémie, hypokaliémie, hyperkaliémie, hypocalcémie, hyperbilirubinémie, neuropathie sensorielle périphérique, dysgueusie, maux de tête, vertiges, dysphonie, dyspnée, toux, diarrhée, nausées, vomissements, stomatite, constipation, douleurs abdominales, dyspepsie, douleur buccale, sécheresse buccale, SEPP, dermatite acnéiforme, érythème, éruption maculopapuleuse, sécheresse cutanée, alopécie, changement de la couleur des cheveux, douleurs dans les extrémités, spasmes musculaires, arthralgie, protéinurie, fatigue, inflammation des muqueuses, asthénie, perte de poids, élévations de ALT, AST et ALP sériques, élévations de la bilirubine, élévation de la créatinine, élévation des triglycérides, diminution des globules blanc, élévation des GGT, élévation de l’amylase, élévation du cholestérol sanguin, élévation de la lipase. Fréquents (>1/100 à <1/10) : abcès, acouphène, embolies pulmonaires, pancréatite, douleur abdominale haute, maladie du reflux gastrooesophagien, hémorroïdes, prurit , œdème périphérique, complications de plaies. Rares (>1/1000 à <1/100): convulsion, fistule anale, hépatite cholestatique, ostéonécrose de la mâchoire. Effets indésirables sélectionnés : perforations GI, fistules, hémorragie, LEPR.

Les prescripteurs doivent consulter le RCP pour une information complète sur les effets indésirables.

Pour plus d’informations, consultez les informations sur le produit régulièrement mises à jour sur le site d’Agence européenne des médicaments www.ema.europa.eu

ONIVYDE® est une marque déposée d’Ipsen Biopharm Limited.

XERMELO® n’est pas commercialisé par Ipsen aux États-Unis. Les indications approuvées peuvent varier en fonction des pays. CABOMETYX® est commercialisé par Exelixis, Inc. aux États-Unis. Ipsen possède les droits exclusifs de commercialisation et de développement clinique du CABOMETYX® hors États-Unis et Japon.

À PROPOS DE SOMATULINE® (lanréotide)

Indications

SOMATULINE® DEPOT® (lanréotide) est un analogue de la somatostatine indiqué dans :

  • le traitement des patients atteints de tumeurs neuroendocrines gastro-entéro-pancréatiques (TNE-GEP), à un stade localement avancé ou métastatique, non résécables, bien ou modérément différenciées pour améliorer la survie sans progression ; et,
  • le traitement des adultes atteints de syndrome carcinoïde ; son utilisation permet de réduire la fréquence du recours à des médicaments de secours par un analogue de la somatostatine à courte durée d’action.

INFORMATIONS DE SÉCURITÉ IMPORTANTES

Contre-indications

  • SOMATULINE® DEPOT® est contre-indiqué chez les patients présentant une hypersensibilité au lanréotide. Des réactions allergiques (notamment œdème de Quincke et anaphylaxie) ont été signalées après l’administration de lanréotide.

Mises en garde et précautions d’emploi

  • Cholélithiase et boue biliaire

    • SOMATULINE® DEPOT® peut réduire la motilité de la vésicule biliaire et contribuer à la formation de calculs biliaires.
    • Une surveillance périodique peut être nécessaire.
    • Si des complications de cholélithiase sont suspectées, arrêter SOMATULINE® DEPOT® et traiter de façon appropriée.
  • Hypoglycémie et hyperglycémie

    • Les patients traités par SOMATULINE® DEPOT® peuvent développer une hypoglycémie ou une hyperglycémie.
    • Il convient de surveiller les taux de glycémie à l’instauration du traitement par SOMATULINE® DEPOT, ou en cas de changement de dose, et le traitement antidiabétique doit être ajusté en conséquence.
  • Anomalies cardiaques

    • Les patients traités par SOMATULINE® DEPOT® peuvent présenter un ralentissement de la fréquence cardiaque.
    • Chez les patients sans maladie cardia

Contacts

Pour plus d’informations :
Christian Marcoux

SVP, Global Communications

+33 (0) 1 58 33 67 94

christian.marcoux@ipsen.com

Kelly Blaney

Vice-Présidente, Global Communications

+44(0)7903 402275

kelly.blaney@ipsen.com

Communauté financière

Eugenia Litz

Vice-Présidente Relations Investisseurs

+44 (0) 1753 627721

eugenia.litz@ipsen.com

Myriam Koutchinsky

Responsable Relations Investisseurs

+33 (0)1 58 33 51 04

myriam.koutchinsky@ipsen.com

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Ipsen présentera des études qui mettent en valeur de nouvelles stratégies pour les cancers difficiles à traiter lors du Congrès de l’ESMO 2019

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