Des données évaluant les traitements combinés, notamment le REVLIMID®
avec des traitements antibiotiques chez des patients atteints de
diverses formes difficiles ? traiter de lymphomes non hodgkiniens ont
été présentées lors de la 54
ème réunion
annuelle de l’American Society of Hematology

Celgene International S? rl, une filiale de Celgene Corporation (NASDAQ :
CELG), a annoncé les résultats issus de plusieurs études évaluant un
traitement combiné avec le REVLIMID® (lénalidomide) et un
traitement antibiotique contre le lymphome non hodgkinien (LNH). Les
données ont été présentées lors de la 54ème réunion annuelle
de l’American Society of Hematology (ASH) ? Atlanta dans l’??tat de
Géorgie.

Les données présentées incluaient deux essais de Phase II sur la
combinaison du lénalidomide avec le rituximab et une chimiothérapie
composée du cyclophosphamide, de l’hydroxydaunorubicine, de l’oncovin et
du prednisone (R-CHOP), un essai de Phase I/II évaluant la combinaison
du lénalidomide avec l’ofatumumab et un essai de Phase II analysant la
combinaison du lénalidomide avec le rituximab.

Premièrement, un essai de Phase II (extrait n°689) évaluait le
lénalidomide en combinaison avec une R-CHOP chez des patients atteints
de lymphomes B, notamment le lymphome B ? grandes cellules et le
lymphome folliculaire diffus. Le traitement a généré un taux de réponse
global de 98 % et un taux de survie sans progression de la maladie sur
un an de 73 %. Les toxicités hématologiques de grade ???3 étaient la
thrombocytopénie(40 %), la neutropénie (89 %) et l’anémie (19 %). Les
effets secondaires non hématologiques de grade 3 ou plus incluaient :
neutropénie fébrile (10 %), pneumonie (4 %), sepsie (2 %), thrombose
veineuse (2 %), fatigue (6 %) et déshydratation (6 %).

Un autre essai de Phase II (extrait n°3668) évaluait l’activité clinique
du lénalidomide en tant que traitement d’entretien après une R-CHOP chez
les patients atteints d’un lymphome B ? grandes cellules diffus qui
avaient présenté une réponse complète au régime de chimiothérapie. Après
un suivi médian de 24 mois, les patients qui ont reçu un traitement
d’entretien sous lénalidomide ont présenté un taux médian de survie sans
progression de la maladie sur deux ans de 92 %, par rapport ? 83 % pour
les patients traités au lénalidomide, avec le rituximab en traitement
d’entretien ; les taux de survie globaux étaient respectivement de 92 %
et 77 %. Les toxicités de grade ???3 incluent : neutropénie (25 %),
fatigue (15 %), hypothyroïdisme (5 %), thrombose veineuse profonde (3 %)
et éruptions cutanées (3 %).

Un essai de phase I/II (extrait n°3692) évaluait le lénalidomide en
combinaison avec l’ofatumumab chez des patients atteints de LNH B en
rechute/réfractaire. Les patients participant ? cet essai qui
souffraient d’un lymphome folliculaire ont démontré un taux de survie
global de 83 % et une survie sans progression de la maladie sur un an de
67 %. Dans l’ensemble, il y a eu des cas de neutropénie de grade 4 chez
24 % (9/37) des patients et un cas pour chacun des événements suivants :
bactériémie de grade 4, thrombose veineuse profonde de grade 4, AVC et
insuffisance rénale aiguë.

Pour finir, les résultats finaux d’un essai de Phase II (extrait n°901)
évaluaient le lénalidomide en combinaison avec le rituximab chez des
patients atteints de LNH indolent non traité ? un stade avancé, avec un
taux de survie global de 90 %. Au cours de l’étude, l’estimation de
survie sans progression de la maladie sur trois ans était de 78 %. Des
cas de neutropénie de grade ???3 se sont produits chez 41 % des patients
et de thrombocytopénie, chez 6 % des patients. Parmi les toxicités non
hématologiques de grade ???3 les plus courantes figuraient : douleurs
musculaires (8 %), éruptions cutanées (7 %) et fatigue (5 %), thrombose
(3 %) et d’autres événements pulmonaires (4 %). Cinq patients ont
développé une fièvre neutropénique.

Ces données proviennent d’études expérimentales. Le REVLIMID®
n’est pas approuvé pour une utilisation chez des patients atteints d’un
lymphome non hodgkinien.

?? propos du REVLIMID

Le REVLIMID est un composant des IMiDs®. Plus de 300
essais cliniques ? travers le monde poursuivent l’évaluation du REVLIMID
et d’autres immunomodulateurs (IMiDs). Le portefeuille d’IMiDs est
couvert par un patrimoine de propriété intellectuelle complet de brevets
déposés et de demandes de brevets en attente aux ??tats-Unis, dans l’UE
et dans d’autres régions, notamment des brevets de composition de
matière et d’utilisation.

Le REVLIMID est approuvé en combinaison avec la dexaméthasone pour le
traitement de patients atteints d’un myélome multiple qui ont reçu au
moins un traitement préalable dans près de 70 pays, notamment en Europe,
aux Amériques, au Moyen-Orient et en Asie, et en combinaison avec la
dexaméthasone pour le traitement de patients dont la maladie a progressé
après un traitement en Australie et en Nouvelle-Zélande.

Le REVLIMID est également approuvé aux ??tats-Unis, au Canada, en Suisse,
en Australie, en Nouvelle-Zélande et dans plusieurs pays d’Amérique
latine, ainsi qu’en Malaisie et en Israël pour l’anémie avec dépendance
transfusionnelle du fait de SMD de risque faible ou intermédiaire 1
associés ? une anomalie cytogénétique de délétion 5q avec ou sans
anomalies cytogénétiques supplémentaires. Des dossiers d’autorisation de
mise sur le marché sont actuellement en cours d’évaluation dans un
certain nombre d’autres pays.

Depuis 1998, Celgene est la société pionnière dans la création
d’environnements où les patients peuvent bénéficier en toute sécurité de
nos traitements modificateurs de la maladie. De ce fait, des centaines
de milliers de patients ? travers le monde ont eu accès aux bénéfices
cliniques de nos traitements par le biais de nos programmes de gestion
du risque basé la performance, notamment S.T.E.P.S.®,
RevAssist® et RevMate®, qui constituent la base de
notre engagement en faveur de la sécurité des patients.

Informations réglementaires pour le Revlimid aux ??tats-Unis

Le REVLIMID® (lénalidomide) est approuvé, en
combinaison avec la dexaméthasone, pour le traitement des patients
atteints d’un myélome multiple (MM) ayant bénéficié d’au moins un
traitement préalable.

Le REVLIMID® (lénalidomide) est indiqué pour
le traitement des patients atteints d’anémie avec dépendance
transfusionnelle due ? des syndromes myélodysplasiques de risque faible
? intermédiaire 1 associés ? une délétion 5q avec ou sans autres
anomalies cytogénétiques.

Informations importantes de sécurité

AVERTISSEMENT : RISQUE F??TAL, TOXICIT??
H??MATOLOGIQUE et THROMBOSE VEINEUSE PROFONDE ET EMBOLISME PULMONAIRE

Ne pas utiliser le REVLIMID en cours de grossesse. Le lénalidomide,
un analogue du thalidomide, a généré des déformations des membres dans
une étude sur le développement des singes. Le thalidomide est un
tératogène humain connu qui entraîne de graves anomalies congénitales
potentiellement mortelles. Si le lénalidomide est utilisé en cours de
grossesse, il risque de générer des anomalies congénitales, voire
d’entraîner la mort d’un bébé en développement. Chez les femmes en âge
de procréer, obtenir 2 tests de grossesse négatifs avant de démarrer un
traitement sous REVLIMID. Les femmes en âge de procréer doivent utiliser
2 formes de contraception ou continuellement s’abstenir de rapports
hétérosexuels en cours de traitement sous REVLIMID et pendant 4 semaines
par la suite. Pour éviter une exposition f??tale au lénalidomide, le
REVLIMID n’est disponible que dans le cadre d’un programme de
distribution limitée appelé « RevAssist
® ».

Des informations concernant le programme RevAssist sont disponibles ?
l’adresse :
www.REVLIMID.com
ou par téléphone en appelant le numéro libre du fabricant :
1-888-423-5436.

TOXICIT?? H??MATOLOGIQUE (NEUTROP??NIE ET
THROMBOCYTOP??NIE)

Le REVLIMID peut entraîner une neutropénie et une thrombocytopénie
importantes. Quatre-vingt pour cent des patients atteints de SMD
associés ? une délétion 5q ont nécessité de retarder / réduire le dosage
au cours de l’étude majeure. Trente-quatre pour cent des patients ont
nécessité un deuxième report / une deuxième réduction du dosage. Une
toxicité hématologique de grade 3 ou 4 a été observée chez 80 % des
patients participant ? l’étude. L’hémogramme complet de patients sous
traitement contre des SMD associés ? une délétion 5q doit être surveillé
chaque semaine pendant les 8 premières semaines de traitement, puis au
moins une fois par mois ensuite. Les patients peuvent nécessiter une
interruption et/ou une réduction du dosage. Les patients pourraient
avoir besoin de produits sanguins et / ou de facteurs de croissance.
(Consultez DOSAGE et ADMINISTRATION)

THROMBOSE VEINEUSE PROFONDE ET EMBOLISME
PULMONAIRE

Le REVLIMID a démontré un risque considérablement accru de thrombose
veineuse profonde et d’embolisme pulmonaire chez les patients atteints
de MM qui ont été traités par une polythérapie au REVLIMID et ? la
dexaméthasone. Il est conseillé aux patients et aux médecins de
surveiller les signes et symptômes de thromboembolie. Il faut
recommander aux patients de consulter un médecin s’ils développement des
symptômes comme un manque de souffle, des douleurs thoraciques ou une
tuméfaction des bras ou des jambes. On ignore si un traitement
prophylactique anticoagulant ou antiplaquettaire prescrit en conjonction
avec le REVLIMID pourrait réduire le risque d’événements de thrombose
veineuse. La décision de prendre des mesures prophylactique doit être
prise avec prudence, après une évaluation des facteurs de risques
sous-jacents d’un patient individuel.

CONTRE-INDICATIONS :

Catégorie de grossesse X :

  • Le lénalidomide est contre-indiqué pour les femmes enceintes et les
    femmes en âge de procréer. Il est possible de traiter les femmes
    susceptibles de tomber enceintes avec le lénalidomide, ? condition de
    prendre des précautions adéquates pour éviter une grossesse

Réactions allergiques :

  • Le REVLIMID est contre-indiqué chez les patients qui ont démontré une
    hypersensibilité (par ex. : angio-??dème, syndrome de Stevens-Johnson,
    nécrolyse épidermique toxique) au lénalidomide

AVERTISSEMENTS ET PR??CAUTIONS :

Risque f??tal :

  • Le REV peut avoir des effets nocifs sur le f??tus lorsqu’on
    l’administre ? une femme enceinte
  • Le REVLIMID est un analogue du thalidomide, un tératogène humain connu
    qui entraîne des anomalies congénitales potentiellement mortelles. Une
    étude sur le développement embryof??tal chez des primates non humains
    indique que le lénalidomide produit des malformations chez les petits
    de guenons qui avaient reçu le médicament en cours de grossesse,
    similaires aux anomalies congénitales observées chez les humains après
    une exposition au thalidomide en cours de grossesse. Si le REVLIMID
    est administré en cours de grossesse, il risque d’entraîner des
    anomalies congénitales, voire la mort, sur un bébé en cours de
    développement
  • Il faut conseiller aux femmes en âge de procréer d’éviter de tomber
    enceintes si elles prennent du REVLIMID. Deux méthodes contraceptives
    efficaces doivent être employées par les patientes en âge de procréer
    pendant au moins 4 semaines avant le début du traitement sous
    REVLIMID, en cours de traitement, pendant les périodes d’interruption
    de dosage et pendant 4 semaines après l’interruption du traitement
    sous REVLIMID
  • Patients hommes : les données cliniques ont démontré la présence de
    lénalidomide dans le sperme humain. Les hommes sous REVLIMID ne
    doivent pas faire de dons de sperme. Les hommes sous REVLIMID doivent
    toujours utiliser un préservatif en latex au cours de tout rapport
    sexuel avec des femmes en âge de procréer, même s’ils ont subi une
    vasectomie réussie

Risque en termes de reproduction et exigences spéciales pour les
ordonnances (programme RevAssist) :

  • En raison de cette toxicité potentielle et pour éviter d’exposer le
    f??tus, le REVLIMID n’est disponible que dans le cadre d’un programme
    spécial de distribution contrôlé appelé « RevAssist ». Les personnes
    prescrivant des médicaments et les pharmaciens inscrits au programme
    peuvent prescrire et dispenser le produit ? des patients qui sont
    inscrits au programme RevAssist et qui en remplissent toutes les
    conditions

Toxicité hématologique???Myélome multiple (MM) :

  • Le REVLIMID peut entraîner une neutropénie et une thrombocytopénie
    importantes
  • Les patients sous REVLIMID pour un MM doivent faire surveiller leur
    hémogramme toutes les 2 semaines pendant les 12 premières semaines,
    puis une fois par mois par la suite
  • Dans les études groupées sur le MM, les toxicités hématologiques de
    grades 3 et 4 étaient plus fréquentes chez les patients traités par
    une polythérapie ? base de REVLIMID et de dexaméthasone que chez les
    patients traités sous dexaméthasone seule
  • Les patients peuvent nécessiter une interruption et/ou une réduction
    du dosage

Thrombose veineuse profonde et embolisme pulmonaire :

  • Des événements de thrombose veineuse (principalement thrombose
    veineuse profonde et embolisme pulmonaire) se sont produits chez des
    patients atteints de MM traités avec une polythérapie ? base de
    lénalidomide et des patients atteints de syndromes myélodysplasiques
    (SMD) traités avec une monothérapie au lénalidomide

Réactions allergiques :

  • Les angio-??dèmes et des réactions dermatologiques graves, notamment le
    syndrome Stevens-Johnson (SSJ) et la nécrolyse épidermique toxique
    (NET), ont été signalés. Ces événements peuvent être fatals. Les
    patients ayant des antécédents d’éruptions cutanées de grade 4
    associées ? un traitement sous thalidomide ne doivent pas prendre du
    REVLIMID. Il faut envisager d’interrompre le traitement sous REVLIMID
    en cas d’éruptions cutanées de grade 2 ? 3. Le traitement sous
    REVLIMID doit être interrompu en cas d’angio-??dèmes, d’éruptions
    cutanées de grade 4, d’éruptions érythrodermiques ou bulleuses ou en
    cas de suspicion de SSJ ou de NET et il ne faut pas le reprendre après
    l’arrêt de ces réactions
  • Les capsules de REVLIMID contiennent du lactose. Les risques et les
    avantages du traitement sous REVLIMID doivent être évalués chez les
    patients présentant une intolérance au lactose

Syndrome de lyse tumorale :

  • Des cas fatals de syndrome de lyse tumorale ont été signalés en cours
    de traitement sous lénalidomide. Les patients présentant des risques
    de syndrome de lyse tumorale sont ceux qui ont une masse tumorale
    élevée avant le traitement. Ces patients doivent être surveillés de
    près et il faut prendre des précautions appropriées

Flambée tumorale :

  • Une flambée tumorale est survenue en cours d’utilisation expérimentale
    du lénalidomide pour la leucémie lymphoïde chronique (LLC) et le
    lymphome et elle se caractérise par une tuméfaction des n??uds
    lymphatiques tendres, une légère fièvre, des douleurs et des éruptions
    cutanées. Il est déconseillé de traiter la LLC ou le lymphome avec le
    lénalidomide en dehors d’un essai clinique correctement surveillé

Hépatotoxicité :

  • Des cas d’anomalies hépatiques transitoires en laboratoire
    (principalement des transaminases) ont été signalés chez des patients
    traités sous lénalidomide. Un traitement au lénalidomide doit être
    interrompu et redémarré une fois que les niveaux reviennent ? la
    normale. La réussite d’une réexposition sans récurrence d’élévation
    hépatique en laboratoire a été signalée chez certains patients

Secondes malignités primaires

  • Les patients atteints de MM traités sous lénalidomide dans des études
    incluant le melphalan et une transplantation de moelle ont présenté
    une incidence supérieure de secondes malignités primaires, en
    particulier une leucémie myéloïde aiguë (LMA) et le lymphome de
    Hodgkin, par rapport aux patients inclus dans les groupes de contrôle
    auxquels un traitement similaire a été dispensé, mais sans
    lénalidomide. Surveiller les patients pour déceler tout développement
    de secondes malignités. Tenir compte de l’avantage potentiel du
    lénalidomide et du risque de secondes malignités primaires si un
    traitement sous lénalidomide est envisagé

INTERACTIONS M??DICAMENTEUSES :

  • Une surveillance régulière des niveaux de plasmatiques de digoxine,
    conformément au jugement clinique et en fonction de la pratique
    clinique standard chez les patients recevant cette médication est
    recommandée en cours d’administration de REVLIMID
  • On ignore s’il existe une interaction entre la dexaméthasone et le
    warfarine. Une surveillance rapprochée du taux de prothrombine et du
    rapport international normalisé est conseillée chez les patients
    atteints de MM qui prennent un traitement sous warfarine associé
  • Les agents érythropoiétiques ou d’autres, qui sont susceptibles
    d’augmenter le risque de thrombose, comme des traitements contenant
    des estrogènes, doivent être utilisés avec précaution chez les
    patients atteints de MM qui reçoivent du lénalidomide avec la
    dexaméthasone

UTILISATION CHEZ DES GROUPES SP??CIFIQUES :

Mères allaitantes :

  • On ignore si le REVLIMID est excrété dans le lait humain
  • En raison du risque d’effets indésirables chez les enfants allaités,
    il faut décider si oui ou non il faut interrompre l’allaitement ou la
    prise de médicament, en tenant compte de l’importance du médicament
    pour la mère

Utilisation chez les personnes âgées :

  • Comme les patients âgés ont plus de risques de présenter une réduction
    de la fonction rénale, il faut veiller ? sélectionner le dosage avec
    prudence et surveiller la fonction rénale

Insuffisance rénale :

  • Comme le REVLIMID est principalement excrété intact par le rein, des
    ajustements du dosage initial de REVLIMID sont conseillés pour fournir
    une exposition au médicament appropriée chez les patients présentant
    une insuffisance rénale modérée (clairance de la créatinine (CLcr) de
    30 ? 60 ml/min) ou grave (CLcr < 30 ml/min) et chez les patients en
    dialyse

EFFETS IND??SIRABLES :

Myélome multiple

  • Dans le groupe de traitement sous REVLIMID/dexaméthasone, 269 patients
    (76 %) ont subi au moins une interruption du dosage avec ou sans
    réduction du dosage de REVLIMID par rapport ? 199 patients (57 %) dans
    le groupe de traitement sous placebo/dexaméthasone
  • Parmi ces patients ayant eu une interruption de dosage avec ou sans
    réduction du dosage, 76 % (269/353) contre 57 % (199/350), 50 % dans
    le groupe de traitement sous REVLIMID/dexaméthasone ont eu au moins
    une interruption supplémentaire du dosage avec ou sans réduction du
    dosage par rapport ? 21 % dans le groupe de traitement sous
    placebo/dexaméthasone
  • La plupart des événements indésirables et les événements indésirables
    de grade 3/4 étaient plus fréquents chez patients atteints de MM qui
    avaient reçu la polythérapie ? base de REVLIMID/dexaméthasone par
    rapport au groupe sous placebo/dexaméthasone
  • Des cas de neutropénie de grade 3/4 se sont produits chez 33,4 %
    contre 3,4 % des patients ; 2,3 % ont présenté une neutropénie fébrile
    de grade 3/4 contre 0 %
  • Des thromboses veineuses profondes (TVP) ont été signalées en tant
    qu’effet indésirable grave (7,4 %) ou de grade 3/4 (8,2 %) par rapport
    ? 3,1 % et 3,4 %. Des interruptions dues ? la TVP ont été signalées ?
    des taux comparables entre les groupes
  • Des embolismes pulmonaires (EP) ont été signalés en tant qu’effet
    indésirable grave (3,7 %) ou de grade 3/4 (4,0 %) par rapport ? 0,9 %
    et 0,9 %. Des interruptions dues ? l’EP ont été signalées ? des taux
    comparables entre les groupes
  • Effets indésirables signalés chez ???15 % des patients atteints de MM
    (REVLIMID/dexaméthasone contre dexaméthasone/placebo) : fatigue (44 %
    contre 42 %), neutropénie (42 % contre 6 %), constipation (41 % contre
    21 %), diarrhée (39 % contre 27 %), crampes musculaires (33 % contre
    21 %), anémie (31 % contre 24 %), pyrexie (28 % contre 23 %), ??dème
    périphérique (26 % contre 21 %), nausées (26 % contre 21 %), douleurs
    dorsales (26 % contre 19 %), infection des voies respiratoires (25 %
    contre 16 %), dyspnée (24 % contre 17 %), vertiges (23 % contre 17 %),
    thrombocytopénie (22 % contre 11 %), éruptions cutanées (21 % contre 9
    %), tremblements (21 % contre 7 %), perte pondérale (20 % contre 15
    %), nasopharyngite (18 % contre 9 %), vision floue (17 % contre 11 %),
    anorexie (16 % contre 10 %) et dysgueusie (15 % contre 10 %)

Syndromes myélodysplasiques

  • La thrombocytopénie (61,5 % ; 91/148) et la neutropénie (58,8 % ;
    87/148) figuraient parmi les événements indésirables les plus signalés
    qui ont été observés dans le groupe de patients souffrant de SMD
    associés ? une délétion 5q
  • Les événements indésirables de grades 3 et 4 signalés chez ??? 5 % des
    patients atteints de SMD associés ? une délétion 5q étaient la
    neutropénie (53 %), la thrombocytopénie (50 %), la pneumonie (7 %),
    des éruptions cutanées (7 %), l’anémie (6 %), la leucopénie (5 %), la
    fatigue (5 %), la dyspnée (5 %) et des douleurs dorsales (5 %)
  • Autre événements indésirables signalés chez ???15 % des patients
    atteints de SMD associés ? une délétion 5q (REVLIMID) : diarrhée (49
    %), prurit (42 %), éruptions cutanées (36 %), fatigue (31 %),
    constipation (24 %), nausées (24 %), nasopharyngite (23 %), arthralgie
    (22 %), pyrexie (21 %), douleurs dorsales (21 %), ??dème périphérique
    (20 %), toux (20 %), vertiges (20 %), maux de tête (20 %), crampes
    musculaires (18 %), dyspnée (17%), pharyngite (16 %), épistaxis (15
    %), asthénie (15 %), infection des voies respiratoires (15 %)

DOSAGE ET ADMINISTRATION :

  • Le traitement est poursuivi ou modifié selon les résultats cliniques
    et de laboratoire. Des modifications du dosage sont recommandées pour
    gérer une neutropénie ou une thrombocytopénie de grade 3 ou 4 ou autre
    toxicité de grade 3 ou 4 estimée être associée au REVLIMID
  • Pour d’autres toxicités de grade 3 ou 4 estimée être associée au
    REVLIMID, suspendre le traitement et le redémarrer au niveau de dosage
    inférieur suivant lorsque toxicité s’est résorbée ? un grade ???2

Veuillez consulter l’intégralité des informations posologiques,
notamment les AVERTISSEMENTS, CONTRE-INDICATIONS, les AVERTISSEMENTS ET
PR??CAUTIONS et les EFFETS IND??SIRABLES figurant sur l’emballage.

?? propos du lymphome non hodgkinien

Le lymphome est le nom désignant le groupe de cancers du sang qui
démarrent dans le système lymphatique, qui lui-même fait partie du
système immunitaire de l’organisme. Les lymphomes démarrent généralement
dans les n??uds lymphatiques ou tissus lymphatiques, au niveau de sites
de l’organisme comme l’estomac ou les intestins. Dans certains cas, il
est également possible qu’ils impliquent la moelle et le sang. La
plupart des gens atteints d’un lymphome présentent l’un des nombreux
types différents de lymphomes non hodgkiniens (LNH) et on estime ? 360
000 le nombre de cas de LNH aux ??tats-Unis, avec plus de 59 000 nouveaux
cas diagnostiqués chaque année.

?? propos de Celgene International S? rl

Située ? Boudry dans le Canton de Neuchâtel en Suisse, Celgene
International S? rl est une filiale en propriété exclusive et le siège
internationale de Celgene Corporation. Celgene Corporation, basée ?
Summit dans l’??tat du New Jersey, est une société pharmaceutique
internationale intégrée qui se consacre principalement ? la découverte,
au développement et ? la commercialisation de thérapies innovantes dans
le traitement du cancer et de maladies inflammatoires ? travers la
régulation génétique et protéinique. Pour des informations
complémentaires, veuillez visiter le site Web de la société : www.celgene.com.

??noncés prospectifs

Ce communiqué de presse contient des énoncés prospectifs qui relatent
généralement des faits non historiques. Les énoncés prospectifs peuvent
être identifiés par l’utilisation des termes « s’attend ? », « anticipe
», « pense que », « envisage », « estime », « prévoit », « perspectives
» et par l’emploi d’expressions similaires. Les énoncés prospectifs
s’appuient sur les projets, estimations, suppositions et projections
actuels de la direction et ne sont valables qu’? la date de leur
formulation. Nous n’assumons aucune obligation de mise ? jour d’un
quelconque énoncé prospectif, que ce soit ? la lumière de nouvelles
informations ou d’événements futurs, sauf dans la mesure où la loi
l’exige. Les énoncés prospectifs impliquent des risques et des
incertitudes inhérents, dont la plupart sont difficilement prévisibles
et qui sont généralement en dehors de notre contrôle. Les résultats ou
issues réels peuvent différer sensiblement de ceux sous-entendus dans
les énoncés prospectifs en raison de l’impact d’un certain nombre de
facteurs. Bon nombre de ces facteurs sont évoqués plus en détail dans
notre rapport annuel sur le formulaire 10-K et dans nos autres rapports
déposés auprès de la Securities and Exchange Commission.

Le texte du communiqué issu d???une traduction ne doit d???aucune manière
être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse
foi est celle du communiqué dans sa langue d???origine. La traduction
devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

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