La société CAMAC Energy («CAMAC Energy» ou la «Société») (NYSE MKT: CAK)
a annoncé aujourd’hui ses résultats financiers et opérationnels pour les
trois mois terminés le 30 septembre 2014. La société prévoit de déposer
en fin de journée son formulaire 10-Q pour le troisième trimestre de
2014, auprès de la “Securities and Exchange Commission”.
Les principaux titres pour le trimestre terminé le 30 septembre, 2014
comprennent:
-
Réussir
à forer le puits Oyo-8 et trouver quatre nouveaux réservoirs de
pétrole et de gaz -
Accorder un contrat pour l’acquisition d’études sismiques
bidimensionnelles sur les blocs L1B et L16 sur les terres kenyanes -
Assurer une facilité
de crédit de 100 millions de dollars -
Quintupler
les ressources récupérables P50 dans quatre de ses meilleures
perspectives d’exploration au large du Nigeria
Oyo-8 a été foré avec succès à une profondeur totale de 6.059 pieds et a
trouvé quatre nouveaux réservoirs de pétrole et de gaz avec une
épaisseur d’hydrocarbures brute totale de 112 pieds, en fonction des
résultats des données de diagraphie en cours de forage, la mesure de la
pression dans le réservoir, et l’échantillonnage du fluide dans le
réservoir. Les deux puits Oyo-7 et Oyo-8 ont été forés avec succès,
alors que les conduites d’écoulement et les autres équipements
sous-marins des puits Oyo-5 et Oyo-6 ont été récupérés, installés avec
succès et testés sur les puits Oyo-7 et Oyo-8. Le navire de forage Energy
Searcher est en cours d’obturer et d’abandonner les puits Oyo-5 et
Oyo-6, puis percer les horizontales afin de compléter les puits Oyo-7 et
Oyo-8. La société prévoit d’apporter le premier de ces deux puits en
développement en ligne en fin d’année, et le deuxième au début de
l’année 2015.
En plus de ces puits en développement, la société a sélectionné quatre
perspectives dans les Contrats de location-exploitation du pétrole 120
et 121 pour forer un puits, qui vise 2377 millions de barils combinés de
pétrole, et P50 ressources récupérables. La société aura la capacité de
forer la première de ces perspectives en se basant sur un
autofinancement, générés par les deux nouveaux puits en développement.
Elle est également dans les premiers stades de la commercialisation de
ces perspectives aux partenaires potentiels. CAMAC Energy a engagé la
société Stellar Energy Advisors à Londres pour commercialiser ces quatre
projets d’exploration à des partenaires potentiels, et prévoit
d’annoncer les résultats de ce processus au cours de la première moitié
de l’année 2015.
CAMAC Energy est en train de finaliser l’accord d’exploitation commune
avec ses partenaires de coentreprise couvrant le bloc Expanded Shallow
Water Tano au Ghana. La société nommée opérateur, détient une
participation de 30%, et a commencé à travailler sur une commercialité
annoncée sur les trois domaines précédemment découverts au cours des
neuf prochains mois.
La société continue sa progression au Kenya. L’étude sismique
bidimensionnelle réalisée en mars 2014 sur les blocs L27 et L28 sur les
terres kenyanes a été traitée, et CAMAC Energy a commencé
l’interprétation. Pour les blocs L1B et L16 au large de Kenya,
l’acquisition sismique bidimensionnelle a débuté en L1B, et
l’acquisition sismique bidimensionnelle devrait être achevée dans les
deux blocs au cours des prochains mois. À ce moment, la société aura
terminé les acquisitions sismiques bidimensionnelles couvrant les deux
blocs sur les terres kenyanes, et les deux blocs au large de Kenya. Ces
quatre blocs couvrent un total de neuf millions d’acres. CAMAC Energy
est l’opérateur, et détient une participation de 100%.
Une étude géologique et géophysique régionale sur les blocs L27 et L28
sur les terres kenyanes par Robertson Research est également en cours et
devrait être achevée à la mi-2015.
La société a terminé une étude géologie et géophysique régionale des
blocs A2 et A5 sur les terres gambiennes. La prochaine étape de CAMAC
Energy est d’acquérir une étude sismique tridimensionnelle sur les zones
les plus prometteuses. CAMAC Energy est l’opérateur, et détient une
participation de 100%.
Les résultats des opérations
Pour le troisième trimestre 2014, les revenus ont atteint 19 millions de
dollars, sur la production moyenne nette quotidienne d’environ 800
barils de pétrole, déduction faite des redevances. Le revenu sur une
base baril a atteint 100,85 dollars. La société a enregistré une perte
nette de 42,2 millions de dollars pour le troisième trimestre de 2014,
ou 0,03 dollar par action ordinaire et diluée. Les équivalents d’espèces
et les espèces ont atteint 54,3 millions de dollars le 30 septembre 2014.
Conférence téléphonique
La société CAMAC Energy tiendra une conférence téléphonique le mardi 11
novembre 2014, à 10 heures du matin selon l’horaire central des
États-Unis (11h selon l’horaire Est des États-Unis) pour discuter des
résultats du troisième trimestre 2014, des opérations actuelles et des
perspectives envisagées par la société pour le reste de l’année 2014. Le
numéro à composer pour accéder à la conférence téléphonique est
877-317-6789 pour les États-Unis, ou 1-412-317-6789 pour
l?internationale. Pour accéder à la webdiffusion audio en direct,
veuillez consulter la section Investisseurs du site électronique de la
Société sur www.camacenergy.com
À-propos de CAMAC Energy
CAMAC Energy est une société indépendante d’exploration et de production
de pétrole et de gaz centrée sur les ressources énergétiques en Afrique.
Son portefeuille d’actifs comprend neuf licences dans quatre pays, dont
la production actuelle et d’autres projets d’exploration au large du
Nigeria, ainsi que les licences d’exploration au large du Ghana, de
Kenya, de la Gambie, et sur les terres Kenyanes. Le siège de CAMAC
Energy est situé à Houston, au Texas. Pour de plus amples informations
sur CAMAC Energy, veuillez consulter le site électronique suivant: www.camacenergy.com
Les estimations des ressources
Ce communiqué de presse fait référence aux ressources prospectives, y
compris les ressources récupérables et les ressources en place. La
Securities and Exchange Commission (“SEC”) permet aux sociétés
pétrolières et gazières, à travers leurs documents déposés auprès de la
SEC, de dévoiler seulement les «réserves», étant donné que ce terme est
défini en vertu des règles de la SEC. Les ressources prospectives sont
les quantités de pétrole estimées, à une date donnée, à être
potentiellement récupérables à partir d’accumulations non découvertes
par l’application de futurs projets de développement. Les ressources
prospectives ont à la fois une chance associée à la découverte et une
chance de développement. Les investisseurs ne devraient pas présumer
qu’il y aura une découverte associée aux ressources prospectives, ou que
toute découverte sera économiquement susceptible à être forée ou
transformée en réserves.
Déclarations prospectives
Ce communiqué de presse contient des “déclarations prospectives” au
sens de l’article 27A de la loi sur les valeurs mobilières de 1933 et
l’article 21E de la loi sur les bourses et les valeurs mobilières de
1934. Toutes les déclarations, outre les déclarations des faits
historiques, concernant les activités, les événements ou les
développements que la Société prévoient, croient ou anticipent qu’ils
aient ou puissent avoir lieu à l’avenir sont des déclarations
prospectives. Alors que la Société estime que les prévisions reflétées
dans ces déclarations prospectives sont raisonnables, elles impliquent
des hypothèses, des risques et des incertitudes, et peuvent se révéler
inexactes. Les résultats actuels de la Société pourraient différer
considérablement de ceux anticipés ou contenus dans ces déclarations
prospectives en raison de divers facteurs, y compris la capacité de la
Société à financer avec succès, forer et développer les prospects
identifiés dans ce communiqué, des risques et d’autres facteurs de
risque examinés dans les rapports périodiques de la Société déposés
auprès de la Commission fédérale américaine des opérations de Bourse
(Securities and Exchange Commission). Toutes les déclarations
prospectives sont expressément qualifiées dans leur intégralité par
cette déclaration de mise en garde. Vous ne devriez pas accorder une
confiance indue aux déclarations prospectives, qui ne sont valables qu’à
leurs dates respectives. La société décline toute obligation de mettre à
jour ces déclarations prospectives.