Alexion a annoncé aujourd’hui que la Commission européenne (CE) a
approuvé les mises à jour de l’étiquette européenne visant l’indication
thérapeutique de Soliris® (éculizumab) pour le traitement de
l’hémoglobinurie paroxystique nocturne (HPN) afin d’y inclure les
patients sans antécédents de transfusion. Avec cette approbation, le
Résumé des caractéristiques du produit (RCP) révisé indique
désormais que la preuve des avantages cliniques est démontrée chez les
patients présentant une activité élevée de la maladie, caractérisée par
un niveau élevé d’hémolyse (LDH ? 1,5 x LSN) et la présence de symptômes
cliniques connexes, tels que fatigue, hémoglobinurie, douleurs
abdominales, essoufflement, anémie, accident vasculaire grave (y compris
thrombose), dysphagie ou dysérection1. Cette mise à jour
confirme par ailleurs que les transfusions n’influent pas sur le
processus pathologique sous-jacent dans l’HPN et que l’hémolyse joue un
rôle central dans l’activité de la maladie.

En outre, la section de l’étiquette européenne sur le syndrome
hémolytique et urémique atypique (SHUa) a été mise à jour et inclut
désormais de nouvelles données d’efficacité précisant qu’un traitement à
long terme avec Soliris était associé à un nombre accru de patients
présentant une amélioration cliniquement significative, ainsi que de
nouvelles informations sur les risques associés à l’interruption du
traitement. Lorsque l’Agence européenne des médicaments (EMA) a approuvé
Soliris pour le traitement des patients atteints de SHUa en 2011, la
section Caractéristiques cliniques du RCP (section 4) précisait que « la
poursuite du traitement avec Soliris est recommandée pendant toute la
durée de vie du patient, à moins qu’une interruption soit cliniquement
indiquée », comme le décrit la sous-section consacrée aux mises en garde
spéciales et précautions d’utilisation. L’étiquette mise à jour (section
4.4) a été révisée et des informations supplémentaires sur les risques
associés à l’interruption du traitement y ont été ajoutées, à savoir que
« des complications de MAT ont été observées dès 4 semaines et
jusqu’à 127 semaines après l’interruption de Soliris chez certains
patients. L’interruption du traitement ne doit être envisagée que si
elle justifiée médicalement. »
L’étiquette révisée précise aussi que
« la surveillance des patients peut être insuffisante pour prédire ou
empêcher les complications de microangiopathie thrombotique (MAT) grave
en cas d’interruption du traitement avec Soliris. »
1

« Ces mises à jour incluent d’importantes informations permettant
d’optimiser les soins des patients atteints d’HPN et de SHUa, deux
maladies très rares potentiellement mortelles, pour lesquelles Soliris
est le seul traitement approuvé », a déclaré Carsten Thiel, Ph.D.,
vice-président directeur pour les régions EMEA et Asie-Pacifique chez
Alexion. « Pour les patients atteints d’HPN, la nouvelle étiquette
confirme que les patients présentant un risque élevé de morbidités ou de
mortalité prématurée peuvent bénéficier de Soliris, quels que soient
leurs antécédents de transfusion. »

Camille L. Bedrosian, M.D., médecin-chef chez Alexion, a par ailleurs
ajouté : « Pour les patients atteints du SHUa, la nouvelle étiquette
souligne l’importance d’un traitement continu et précise qu’un nombre
accru de patients atteints du SHUa ont obtenu des bénéfices cliniquement
significatifs avec un traitement à long terme. »

À propos de la mise à jour de l’étiquette pour l’HPN

L’HPN est un trouble sanguin débilitant extrêmement rare et
potentiellement mortel2-4. Chez les patients atteints d’HPN,
une activation chronique incontrôlée du complément, un composant du
système immunitaire naturel, provoque une hémolyse (destruction des
globules rouges du patient), entraînant une thrombose, une défaillance
d’organe et une réduction du taux de survie5-8

L’étiquette européenne révisée indique que les patients atteints d’HPN
sans antécédents de transfusion peuvent désormais bénéficier du
traitement avec Soliris. La nouvelle étiquette souligne aussi que
l’activité élevée de la maladie dans l’HPN se caractérise par un niveau
d’hémolyse élevé (LDH ? 1,5 x LSN) et la présence de symptômes cliniques
connexes : « fatigue, hémoglobinurie, douleurs abdominales,
essoufflement (dyspnée), anémie (hémoglobine < 100 g/L), accident
vasculaire grave (y compris thrombose), dysphagie ou dysérection »
1

La CE a fondé son opinion sur les données d’efficacité et d’innocuité
issues d’un registre observationnel international non interventionnel
sur l’HPN, qui a confirmé que les patients sans antécédents de
transfusion traités avec Soliris présentaient une réduction
significative de l’hémolyse (mesurée par le LDH) et des symptômes
cliniques associés à une activité élevée de la maladie dans l’HPN.

À propos de la mise à jour de l’étiquette pour le SHUa

Le SHUa est une maladie génétique extrêmement rare et potentiellement
mortelle, caractérisée par une activation incontrôlée chronique du
complément entraînant une MAT induite par le complément, la formation de
caillots de sang dans les petits vaisseaux sanguins dans tout l’organisme9,10.
L’activation incontrôlée permanente du complément chez un patient
atteint du SHUa entraîne un risque de MAT tout au long de la vie, qui
aboutit à des lésions rénales, cérébrales, cardiaques – et dans d’autres
organes vitaux ? soudaines, catastrophiques et potentiellement
mortelles, ainsi qu’au décès précoce9,11

À la suite de l’approbation de la CE, la section SHUa de l’étiquette
européenne a été révisée et inclut désormais de nouvelles données
d’efficacité précisant qu’un traitement à long terme avec Soliris était
associé à un nombre accru de patients présentant une amélioration
cliniquement significative. Qui plus est, lorsque le traitement avec
Soliris a été poursuivi pendant au moins deux ans, un nombre
supplémentaire de patients ont obtenu une réponse complète au traitement
de la MAT et une normalisation hématologique. En outre, la section 4.4
de l’étiquette européenne inclut de nouvelles informations sur les
risques associés à l’interruption du traitement chez les patients
atteints de SHUa1

La mise à jour de l’étiquette européenne repose sur des données
supplémentaires issues de l’étude de suivi à long terme en cours de
patients atteints du SHUa ayant participé à des essais cliniques
antérieurs sur le SHUa. Ces données ont montré que sur 61 patients ayant
interrompu la prise de Soliris et ayant été suivis pendant une période
moyenne de 24 semaines, 12 patients ont présenté 15 complications de MAT
grave à l’issue de l’interruption du traitement, et deux MAT graves se
sont produites chez deux autres patients ayant suivi une posologie
réduite de Soliris différente de celle approuvée. En outre, ces patients
ont connu des complications médicales graves, y compris une aggravation
marquée de la fonction rénale, une hospitalisation liée à la maladie et
une progression vers une insuffisance rénale terminale nécessitant une
dialyse. Ces complications graves de la MAT se sont produites, qu’une
mutation génétique ait été identifiée ou non.

Soliris est approuvé dans près de 50 pays pour le traitement des
patients atteints d’HPN et dans près de 40 pays pour le traitement des
patients atteints du SHUa.

À propos de l’HPN

L’HPN est un trouble sanguin extrêmement rare caractérisé par une
activation chronique incontrôlée du complément, un composant du système
immunitaire normal qui entraîne une hémolyse (destruction des globules
rouges du patient). L’HPN survient à tous les âges, bien qu’elle débute
en moyenne au début de la trentaine12. Environ 10 % de tous
les patients présentent les premiers symptômes vers l’âge de 21 ans13.
L’HPN se déclare sans signe avertisseur et peut affecter les hommes ou
les femmes de tous âges, races et milieux. L’HPM passé souvent
inaperçue, les diagnostics tardifs pouvant aller d’un an à plus de 10 ans14.
Avant que Soliris soit disponible, on estimait qu’environ un tiers des
patients atteints d’HPN ne survivaient pas plus de cinq ans une fois le
diagnostic établi12. L’HPN a été identifié plus couramment
chez les patients atteints de troubles de la moelle osseuse, y compris
l’anémie aplasique (AA) et les syndromes myélodysplasiques (SMD)15-17.
Chez les patients atteints de thrombose d’origine inconnue, l’HPN peut
être une cause sous-jacente12

À propos du syndrome hémolytique et urémique atypique (SHUa)

Le SHUa est une maladie chronique extrêmement rare et potentiellement
mortelle, dans laquelle une déficience génétique à vie et permanente
dans l’un au moins des gènes régulateurs complémentaires entraîne une
activation chronique incontrôlée du complément qui aboutit à une
microangiopathie thrombotique (MAT) induite par le complément, ainsi que
la formation de caillots de sang dans les petits vaisseaux sanguins dans
tout l’organisme8,9. Soixante-dix-neuf pour cent de tous les
patients atteints du SHUa décèdent, nécessitent une dialyse rénale ou
présentent des lésions rénales permanentes dans les trois ans qui
suivent le diagnostic malgré un échange ou une infusion plasmatique
(EP/IP)18. En outre, 33 à 40 pour cent des patients décèdent
ou progressent vers l’insuffisance rénale terminale dès les premiers
signes cliniques de SHUa, malgré un EP ou une IP18,19. La
majorité des patients atteints du SHUa bénéficiant d’une greffe de rein
contractent généralement une MAT systémique ultérieure qui aboutit à un
taux d’échec de la greffe de 90 %20

Le SHUa touche à la fois les enfants et les adultes. Alors que les
mutations ont été identifiées dans au moins dix gènes régulateurs à
complément distincts, elles ne sont pas identifiées chez 30 à 50 % des
patients diagnostiqués comme étant atteints du SHUa18

À propos de Soliris

Soliris est le premier inhibiteur de la voie terminale du complément
développé par Alexion, du laboratoire à la mise sur le marché, en
passant par l’approbation réglementaire. Soliris a été approuvé aux
États-Unis (2007), dans l’Union européenne (2007), au Japon (2010) et
dans d’autres pays, comme premier et seul traitement destiné aux
patients atteints d’hémoglobinurie paroxystique nocturne (HPN), un
trouble sanguin débilitant, extrêmement rare et potentiellement mortel,
caractérisé par une hémolyse induite par des compléments (destruction de
globules rouges). Soliris est indiqué pour réduire l’hémolyse.

Soliris a aussi été approuvé aux États-Unis (2011), dans l’Union
européenne (2011), au Japon (2013) et dans d’autres pays, comme premier
et seul traitement destiné aux patients atteints du syndrome hémolytique
et urémique atypique (SHUa) pour inhiber la microangiopathie
thrombotique induite par des compléments, un trouble génétique
débilitant, extrêmement rare et potentiellement mortel, caractérisé par
une MAT induite par des compléments (caillots dans les petits vaisseaux
sanguins). L’approche révolutionnaire d’Alexion et de Soliris vis-à-vis
de l’inhibition du complément a été récompensée par certains des plus
prestigieux prix dans le secteur pharmaceutique : le Prix Galien USA
2008 du Meilleur produit technologique, avec de larges implications pour
le futur de la recherche biomédicale, et le Prix Galien France 2009 dans
la catégorie Médicaments traitant les maladies rares.

Pour de plus amples informations sur Solaris, y compris les
renseignements posologiques complets, consultez le site http://ec.europa.eu/health/documents/community-register/2015/20150330131432/anx_131432_en.pdf

Informations importantes concernant la sécurité

En Europe, le résumé des caractéristiques du produit (RCP) de Soliris
comprend une mise en garde particulière et des précautions d’utilisation
: à cause de son mode d’action, l’utilisation de Soliris accroît la
vulnérabilité à la méningococcie (Neisseria meningitidis). Ces patients
peuvent courir le risque de contracter une maladie appartenant à des
sérogroupes rares (notamment Y, W135 et X), bien que les infections à
méningocoques puissent être contractées quel que soit le sérogroupe.
Afin de réduire le risque d’infection, tous les patients doivent être
vaccinés au moins deux semaines avant l’administration de Soliris. Les
patients atteints du SHUa déjà traités à Soliris moins de deux semaines
avant avoir reçu une vaccination antiméningococcique doivent être
traités de manière appropriée par des antibiotiques prophylactiques
pendant deux semaines après la vaccination. Les patients doivent être
vaccinés à nouveau conformément aux directives médicales actuelles
relatives à l’utilisation des vaccins. Les vaccins tétravalents contre
les sérotypes A, C, Y et W135 sont fortement recommandés, de préférence
conjugués. La vaccination peut ne pas s’avérer suffisante pour prévenir
une infection à méningocoques. Une importance particulière devrait être
accordée aux directives officielles portant sur l’utilisation appropriée
des agents antibactériens.

Les réactions indésirables les plus courantes ou graves sont les maux de
tête (qui se manifestent principalement lors de la phase initiale), la
leucopénie et la méningococcie. Les réactions indésirables les plus
courantes (> 10 %) signalées chez les enfants atteints du SHUa sont les
suivantes : diarrhée, vomissement, pyrexie, infections des voies
respiratoires supérieures et maux de tête. Le traitement au Soliris ne
devrait pas altérer la prise en charge des problèmes de coagulation.
Veuillez consulter les caractéristiques du produit pour des informations
posologiques complètes sur Soliris, y compris toutes les mises en garde
et précautions.

À propos d?Alexion

Alexion est une société biopharmaceutique qui se consacre à répondre aux
besoins des patients souffrant de troubles graves et rares, grâce à
l’innovation, le développement et la commercialisation de produits
thérapeutiques qui changent la vie. Alexion est le chef de file mondial
de l’inhibition du complément ; la société a développé et commercialise
Soliris® (éculizumab) comme traitement des patients atteints
d’hémoglobinurie paroxystique nocturne (HPN) et du syndrome hémolytique
et urémique atypique (SHUa), deux troubles débilitants, extrêmement
rares et potentiellement mortels causés par l?activation chronique
incontrôlée du complément. Soliris est actuellement approuvé dans près
de 50 pays pour le traitement de l?HPN et dans près de 40 pays pour le
traitement du SHUa. Alexion évalue d’autres indications potentielles du
Soliris pour le traitement d’autres troubles graves et extrêmement rares
au-delà de l’HPN et du SHUa, et poursuit le développement d’autres
produits biotechnologiques candidats hautement novateurs, y compris
l’asfotase alfa, dans plusieurs domaines thérapeutiques.

Pour des informations supplémentaires sur Alexion, consultez le site www.alexionpharma.eu.

Références bibliographiques

1.

RCP : Résumé® des caractéristiques du produit Soliris®
(éculizumab). Alexion Europe SAS. Mis à jour en avril 2015.
Disponible à : http://ec.europa.eu/health/documents/community-register/2015/20150330131432/anx_131432_en.pdf

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Le texte du communiqué issu d?une traduction ne doit d?aucune manière
être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse
foi est celle du communiqué dans sa langue d?origine. La traduction
devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

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