Sanofi et Regeneron annoncent l’approbation de Praluent® (alirocumab) dans l’Union européenne pour le traitement de l’hypercholestérolémie

– Praluent sera disponible en deux doses, 75 mg et 150 mg, à s’auto-administrer toutes les deux semaines –

Paris et Tarrytown, New York – Le 28 septembre 2015 Sanofi et Regeneron Pharmaceuticals, Inc. annoncent aujourd’hui que la Commission européenne (CE) a délivré une autorisation de mise sur le marché à Praluent® (alirocumab) dans le traitement de l’hypercholestérolémie caractérisée par un taux élevé de « mauvais cholestérol », ou cholestérol à lipoprotéines de faible densité (LDL), chez certaines catégories d’adultes. Praluent est le seul inhibiteur PCSK9 (proprotéine convertase subtilisine/kexine de type 9) approuvé par la Commission européenne disponible en deux doses de départ (75 mg et 150 mg) en injection unique de 1 millilitre (ml) une fois toutes les deux semaines, offrant ce faisant deux niveaux d’efficacité. Praluent sera proposé dans un stylo pré-rempli à dose unique que les patients s’auto-administrent.

« La mise à disposition de deux doses différentes de Praluent permet une certaine flexibilité posologique. En pratique clinique, cela donnera aux médecins les moyens d’adapter le traitement aux besoins individuels des patients présentant une hypercholestérolémie LDL », explique le Dr Michel Farnier, Ph.D., du Point Médical à Dijon (France). « Dans les essais de phase 3, la majorité des patients qui ont commencé par la dose la plus faible de Praluent (75 mg) ont pu atteindre leur objectif prédéfini en matière de cholestérol-LDL et ont continué le traitement à cette dose pendant toute la période d’évaluation. »

La Commission européenne a approuvé Praluent dans le traitement de l’hypercholestérolémie primitive (hypercholestérolémie familiale hétérozygote [HeFH] et non familiale) ou de la dyslipidémie mixte de l’adulte en complément à un régime alimentaire : a) en association avec une statine, ou avec une statine combinée à d’autres hypolipémiants chez les patients qui ne parviennent pas à atteindre leur objectif en matière de cholestérol-LDL avec une statine à la dose maximale tolérée ou b) en monothérapie ou en association avec d’autres hypolipémiants chez les patients intolérants aux statines ou présentant une contre-indication aux statines. L’effet de Praluent sur la morbidité et la mortalité cardiovasculaires n’a pas encore été évalué.

L’hypercholestérolémie est un problème de santé important en Europe. Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), c’est en Europe que la prévalence de l’hypercholestérolémie par habitant est la plus élevée du monde (54 %), suivie de la région « Amériques » de l’OMS (48 %). L’hypercholestérolémie LDL est un facteur de risque majeur de maladies cardiovasculaires, qui sont la première cause de mortalité dans le monde. Malheureusement, en dépit des traitements standards, y compris par statines et (ou) d’autres hypolipémiants, de nombreux Européens continuent de présenter un taux de cholestérol-LDL mal contrôlé, notamment ceux atteints d’HeFH, à risque cardiovasculaire élevé ou présentant des antécédents d’intolérance aux statines. Pour ces patients, d’autres options thérapeutiques supplémentaires sont nécessaires afin d’abaisser plus agressivement leur taux de cholestérol.

« Notre programme clinique a été centré sur des patients qui présentent des besoins non satisfaits importants dont la plupart étaient traités par statines à la dose maximale tolérée et (ou) d’autres hypolipémiants », explique le Dr Olivier Brandicourt, Directeur Général de Sanofi. « C’est avec enthousiasme que nous avons pu constater que la majorité de ces patients, dont la plupart continuaient d’avoir un taux de cholestérol-LDL très élevé malgré leur traitement hypolipémiant, ont pu atteindre leurs objectifs en matière de cholestérol en l’espace de quelques semaines dès lors que Praluent a été ajouté à leur régime thérapeutique. »

L’autorisation de mise sur le marché délivrée par la Commission européenne repose sur les données de 10 essais cliniques pivots de phase 3 faisant partie du programme ODYSSEY, dont cinq étaient contrôlés par placebo et cinq par ézétimibe. Les données montrent des réductions uniformes et robustes du taux de cholestérol-LDL chez les patients traités par Praluent comparativement au placebo ou à l’ézétimibe, en complément d’un traitement standard qui incluait des statines à la dose maximale tolérée. Tous les essais ont atteint leur critère d’évaluation principal et permis d’observer, à la semaine 24, des réductions significativement supérieures du taux de cholestérol-LDL par rapport au départ, comparativement au placebo ou à l’ézétimibe. Dans les essais contrôlés par placebo, les réductions moyennes du taux de cholestérol-LDL à la semaine 24, par rapport aux valeurs de départ, ont varié entre 46 % et 61 % dans les groupes traités par Praluent. Dans l’essai contrôlé par ézétimibe dans le cadre duquel Praluent a été administré en complément d’un traitement de fond par statines, la variation moyenne du taux de cholestérol-LDL par rapport au départ s’est établie à 51 % à la semaine 24. Dans les essais contrôlés par ézétimibe menés auprès de patients qui ne prenaient pas de statines, la réduction moyenne du taux de cholestérol-LDL par rapport au départ a été comprise entre 45 % et 47 % dans le groupe Praluent à la semaine 24. Par ailleurs, aux semaines 12 et 24, un nombre significativement plus important de patients avaient atteint un taux de cholestérol-LDL inférieur à 70 mg/dl (ou inférieur à 1,81 mmol/l) dans le groupe Praluent, comparativement au placebo ou à l’ézétimibe.

« Nous sommes heureux de mettre Praluent à la disposition des patients européens qui ont besoin de réduire davantage leur taux de cholestérol-LDL », explique le Dr Leonard S. Schleifer, Ph.D., Fondateur et Président et Directeur Général de Regeneron. « Cette approbation est l’aboutissement du travail remarquable de nos chercheurs, qui ont su transformer une découverte génétique en un médicament innovant et important, ainsi qu’à l’engagement des investigateurs et des patients qui ont participé à nos essais cliniques. »

Dans le cadre des huit essais, les patients ont été traités au départ par Praluent 75 mg toutes les deux semaines, puis à une dose de 150 mg toutes les deux semaines à la semaine 12 s’ils n’avaient pas atteint le taux cible de cholestérol-LDL pré-spécifié dans le protocole de l’étude. Le taux de cholestérol-LDL des patients traités au départ par Praluent 75 mg toutes les deux semaines a diminué en moyenne de 44,5 % à 49 % par rapport au départ à la semaine 12. La majorité des patients ont atteint leur taux prédéfini de cholestérol-LDL à la dose de 75 mg et ont poursuivi le traitement à cette dose. Dans deux autres essais, dans le cadre desquels les patients ont débuté par une dose de 150 mg de Praluent toutes les deux semaines, la réduction moyenne du taux de cholestérol-LDL par rapport au départ s’est établie à 63 % à la semaine 12. Dans l’essai ODYSSEY LONG TERM, le plus important essai de phase 3 contrôlé par placebo consacré à Praluent réalisé à ce jour, la baisse du taux de cholestérol-LDL s’est maintenue pendant 78 semaines.

Le rôle que peut jouer de Praluent dans la réduction des événements cardiovasculaires majeurs est actuellement évalué dans le cadre de l’essai ODYSSEY OUTCOMES dont les résultats sont attendus en 2017. Les analyses finales pré-spécifiées des données de l’étude ODYSSEY LONG TERM ont permis de faire ressortir que des accidents cardiovasculaires majeurs (après adjudication) avaient été rapportés chez 1,7 % des patients du groupe Praluent contre 3,3 % des patients du groupe placebo. Les rapports de risque ont été calculés post-hoc; HR=0,52 (IC à 95 %, 0,31 à 0,90). D’après les analyses pré-spécifiées des données groupées des essais de phase 3, des accidents cardiovasculaires majeurs ont été rapportés chez 1,6 % des patients du groupe Praluent et 1,8 % des patients du groupe témoin, qui avaient été traités soit par placebo, soit par ézétimibe (HR=0,81; IC à 95 %, 0,52 à 1,25).

Dans l’ensemble des essais de phase 3, la mortalité toutes causes confondues s’est établie à 0,6 % dans le groupe Praluent et à 0,9 % dans le groupe témoin, les accidents cardiovasculaires étant la première cause de mortalité pour la majorité de ces patients.

Dans les essais cliniques, Praluent a été généralement bien toléré avec un profil de sécurité acceptable. Les effets secondaires les plus fréquents observés dans le cadre des essais cliniques ont été les réactions localisées au point d’injection caractérisées par un érythème/une rougeur, des démangeaisons, un oedème ou une douleur/sensibilité au point d’injection (6 % pour Praluent contre 4 % pour le placebo). La plupart de ces réactions ont été transitoires et d’intensité légère. Le taux d’arrêt du traitement motivé par les réactions localisées au point d’injection a été comparable entre les deux groupes (0,2 % pour Praluent et 0,3 % pour les groupes témoins). Parmi les effets secondaires se produisant plus fréquemment dans le groupe Praluent que dans le groupe placebo figuraient les signes et symptômes d’infection des voies respiratoires supérieures et le prurit.

En juillet, Sanofi et Regeneron ont annoncé l’approbation de Praluent aux États-Unis comme traitement d’appoint au régime alimentaire et aux statines à la dose maximale tolérée afin d’obtenir une diminution supplémentaire du taux de cholestérol à lipoprotéines de faible densité chez les adultes présentant une hypercholestérolémie familiale hétérozygote ou une maladie cardiovasculaire artérioscléreuse clinique. L’effet de Praluent sur la morbidité et la mortalité cardiovasculaires n’a pas été évalué.

Ce médicament est soumis à une surveillance supplémentaire. Cela permettra l’identification rapide de tout problème de sécurité. Les professionnels de santé sont invités à rapporter toute réaction indésirable suspecte.

A propos de Sanofi
Sanofi, un leader mondial de la santé, recherche, développe et commercialise des solutions thérapeutiques centrées sur les besoins des patients. Sanofi possède des atouts fondamentaux dans la prise en charge du diabète, les vaccins humains, les produits innovants, la santé grand public, les marchés émergents, la santé animale et Genzyme. Sanofi est coté à Paris (EURONEXT: SAN) et à New York (NYSE: SNY).

A propos de Regeneron Pharmaceuticals, Inc.
Regeneron (NASDAQ: REGN) est une grande société biopharmaceutique basée à Tarrytown (New York) qui découvre, développe et commercialise des médicaments pour le traitement de plusieurs maladies graves. Regeneron commercialise des produits pour le traitement des maladies oculaires, du cancer colorectal et d’une maladie inflammatoire rare et développe des candidats-médicaments dans plusieurs autres domaines thérapeutiques importants comme l’hypercholestérolémie, la polyarthrite rhumatoïde, l’asthme, la dermatite atopique, la douleur, et maladies infectieuses. Pour plus d’informations sur Regeneron, voir le site : www.regeneron.com ou suivez @Regeneron sur Twitter.

Déclarations prospectives Sanofi
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Source: Sanofi via Globenewswire
HUG#1954412

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