One Re, une nouvelle société de réassurance dommages établie pour se
concentrer uniquement sur les affaires menées sur le continent africain,
a été approuvée par les régulateurs britanniques.

Il s?agit là de la première société de réassurance traditionnelle en
démarrage à être approuvée dans le cadre du nouveau régime de
réglementation britannique, entré en vigueur en avril 2013.

One Re, qui a reçu l?approbation de l?une des autorités de
réglementation les plus strictes dans le monde, peut fournir aux
compagnies d?assurance africaines des solutions de réassurance bien
capitalisées et transparentes, garanties par les notations de crédit et
la surveillance de puissants organismes de réglementation britanniques,
la Prudential Regulation Authority (PRA) et la Financial Conduct
Authority (FCA).

Les fondateurs ont investi un montant initial de 50 000 000 USD en
numéraire comme capital de démarrage pour financer la société de
réassurance basée à Londres.

Le cofondateur et chef de la direction de One Re, M. Andrew Lewis, a
déclaré : « One Re s?est engagée à exploiter ses quinze années
d?expérience sur le terrain en Afrique, d?expertise technique et de
succès sur le marché africain de l?assurance pour soutenir la croissance
sur le continent. »

M. Lewis a souligné que le retour des investisseurs mondiaux pour
l?Afrique a fourni une excellente occasion pour les marchés locaux
africains de développer et faire croître leur secteur local de la
réassurance.

La société est soutenue par des sociétés de réassurance internationales
notées A qui offrent capacité et protection au portefeuille de One Re.

M. Lewis a ajouté : « On assiste à n?en pas douter à un retour de
l’appétit pour le risque au niveau mondial. Les marchés d?Afrique
subsaharienne ont bénéficié d?un intérêt renouvelé des investisseurs, ce
qui a permis une augmentation de la demande pour l?assurance et la
réassurance en Afrique. »

Les grands projets et développements d?infrastructure en cours en
Afrique aujourd?hui sont à l?origine de la demande de réassurance. Selon
les dernières prévisions du FMI, l?Afrique subsaharienne restera la
deuxième région dans le monde en termes de croissance en 2015, avec des
prévisions de croissance de l?ordre de 5,75 %.

« Les trois facteurs clés nécessaires pour soutenir la croissance des
marchés africains de la réassurance sont (1) des connaissances
spécialisées et des compétences techniques relatives aux risques en
Afrique, (2) la formation, le développement des compétences et le
transfert de connaissances dans les pays, et (3) une augmentation de la
rétention des risques et des primes en Afrique », a expliqué M. Lewis.

Il a indiqué que la formation et le développement des connaissances et
des compétences relatives à l?assurance locale sur les marchés africains
seront une priorité pour One Re.

En réponse à ce défi, One Re prévoit d?investir dans la mise en place
d?institutions et de programmes de formation en assurance, conçus
spécifiquement pour les marchés africains.

« One Re est exclusivement axée sur l?Afrique, notre réussite dépend de
la réussite de l?ensemble de l?industrie de l?assurance en Afrique. Nos
actionnaires et la majorité du personnel de direction sont des Africains
ayant travaillé en Afrique pendant plus de deux décennies, nous avons
confiance dans le continent africain et dans la croissance de ce secteur
», a conclu M. Lewis.

À propos de One Re :

One Re est une société de réassurance professionnelle axée sur l?Afrique
avec une vaste expérience sur le continent africain. Basée dans la City
de Londres, le centre financier international de l?assurance et de la
réassurance mondiale, One Re est régulée par le régime réglementaire
conjoint de la Prudential Regulation Authority (PRA) de la Banque
d?Angleterre et de la Financial Conduct Authority (FCA).

Créée par des professionnels de l?assurance africains, One Re répond aux
besoins du marché africain de l?assurance, réunissant capacité mondiale,
connaissances du marché africain ainsi que clients locaux et
internationaux.

Pour plus d?informations sur One Re : www.onere.com

Le texte du communiqué issu d?une traduction ne doit d?aucune manière
être considéré comme officiel. La seule version du communiqué qui fasse
foi est celle du communiqué dans sa langue d?origine. La traduction
devra toujours être confrontée au texte source, qui fera jurisprudence.

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Le premier réassureur axé exclusivement sur l’Afrique reçoit l’approbation des autorités de réglementation britanniques

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