Le taux d’inoccupation des locaux ? bureaux dans les centres-villes du
pays plonge ? 5 % au deuxi?me trimestre 2012, en baisse de 5,4 % par
rapport au premier trimestre, selon le rapport sur les tendances
nationales du deuxi?me trimestre publi? aujourd’hui par Cushman &
Wakefield Canada (C&W). C’est la deuxi?me fois seulement que le taux
d’inoccupation conna?t une telle chute depuis 1985.

? Certains march?s traversent actuellement un cycle de nouveaux
d?veloppements de bureaux ? un niveau d’activit? de construction qui n’a
pas ?t? observ? depuis le d?but des ann?es 1990 ?, a d?clar? Pierre
Bergevin, pr?sident et directeur g?n?ral de C&W Canada. ? Cette tendance
devrait r?pondre ? une partie du fl?chissement actuel de la demande
largement stimul?e par la concentration des espaces de travail et des
employ?s, l’augmentation de la productivit? li?e ? des m?thodes de
travail plus modernes et la proximit? du lieu de travail. Compte tenu du
nombre important de nouvelles constructions et d’une liste croissante de
locataires ?ventuels cherchant ? moderniser et ? consolider leurs
activit?s, nous pensons que les nouveaux d?veloppements seront bien
re?us et r?pondront aux besoins des locataires ? la recherche d’espaces
plus vastes ?.

Les d?cisions dans les centres-villes sont toujours prises dans des
perspectives de consolidation/expansion, ce qui r?duit les options
disponibles, notamment pour les locataires ? la recherche de grands
espaces adjacents. Cette tendance entra?ne une pression continue ? la
hausse des tarifs de location, particuli?rement ? Vancouver, Calgary et
Toronto.

Le taux national d’inoccupation dans les march?s de banlieue reste
stable ? 9,9 % entre le premier et le deuxi?me trimestres, refl?tant une
perte de vitesse li?e ? un affaiblissement des facteurs ?conomiques
mondiaux. Au cours de l’ann?e derni?re, les taux d’inoccupation dans les
banlieues ont chut? de plus d’un demi-point, traduisant le dynamisme de
la demande avant le r?cent fl?chissement de la conjoncture ?conomique en
Europe et en Asie. Il y a un an, le taux national d’inoccupation dans
les banlieues ?tait de 10,4 %.

Un autre facteur affectant les march?s de banlieue, notamment ? Toronto
et Vancouver, est une migration inverse des grandes entreprises
cherchant ? revenir au centre-ville. Immeubles sophistiqu?s et
?cologiques, espaces de travail plus collaboratifs, syst?mes d’air frais
et CVCA, fen?tres plain-pied offrant une abondance de lumi?re naturelle,
sont autant de facteurs affectant la migration des entreprises.

Il y a aussi un d?sir d’attirer et de conserver les meilleurs employ?s
qui viennent s’installer en nombre croissant dans les centres urbains et
sont de plus en plus nombreux ? vouloir travailler, vivre et se divertir
en milieu urbain.

? Les immeubles de bureau sont de plus en plus sophistiqu?s ?, a d?clar?
Scott Chandler, premier directeur g?n?ral des services d’?valuation et
de conseil de C&W Canada. ? La logique, et la rentabilit?
proportionnellement sup?rieure, associ?es ? l’espace de travail physique
r?el motivent de nombreuses grandes entreprises ? r??valuer leurs
activit?s actuelles. Cela donne de toute ?vidence un avantage
concurrentiel aux soci?t?s qui ont profit? de l’occasion et r?ussi la
transition ?.

Vancouver

Le taux de vacance au centre de Vancouver a augment?, passant de 3,5 %
le trimestre dernier ? 3,7 %, mais la demande, notamment la demande
comprim?e, reste forte et les options pour les locataires ? la recherche
de grands locaux sont particuli?rement limit?es. Les immeubles de classe
A sont toujours quasi-inexistants au centre-ville et repr?sentent
seulement 2,4 % de l’ensemble du centre de Vancouver. Le quartier des
affaires du centre de Vancouver reste l’un des march?s les plus
dynamiques du Canada.

La banlieue de Vancouver a enregistr? une baisse de la demande par
rapport au deuxi?me trimestre, li?e en grande partie ? des
pr?occupations ?conomiques d’ordre g?n?ral. Le taux d’inoccupation est
pass? de 12,1 % au premier trimestre ? 12,7 % ce trimestre, repr?sentant
cependant un l?ger d?clin par rapport ? la m?me p?riode l’ann?e
derni?re, lorsque le taux de vacance dans les banlieues ?tait ? 13,1 %.

? Les locataires savent parfaitement que de nouveaux d?veloppements sont
en cours, et ceux dont le bail n’expire pas avant longtemps
r?fl?chissent d?j? ? leurs options futures ?, a d?clar? Mark Chambers,
vice-pr?sident directeur des services de location de bureaux de C&W
Vancouver. ? Bien que le march? soit limit? pour les besoins imm?diats
des locataires, la situation dans le centre-ville est toujours aussi
optimiste et positive ?.

Calgary

? l’image des trimestres pr?c?dents, le centre de Calgary est
actuellement le march? le plus dynamique et le plus serr? du pays. Une
absorption positive de 30 600 m?tres carr?s (329 386 pieds carr?s) a ?t?
enregistr?e au deuxi?me trimestre, faisant passer le taux d’inoccupation
de 3,6 % au 1er trimestre ? 3,1 % ? peine le trimestre suivant. Les
locaux de classe A sont inexistants, avec un taux de vacance d’? peine 1
%, se traduisant par une pression ? la hausse sur les tarifs de location
dans toutes les classes. Le prix du p?trole continue de stimuler cette
forte demande et les r?cents contretemps survenus au cours de la
construction du Bow ne feront qu’aggraver cette situation.

Les banlieues aussi sont rest?es actives ? Calgary, contrairement au
reste du pays, avec la location de 8 200 m?tres carr?s (88 020 pieds
carr?s) au deuxi?me trimestre, portant le taux d’inoccupation de 12 % au
premier trimestre ? 11,5 % au deuxi?me trimestre.

? Tandis que le secteur de l’?nergie incandescente a entra?n? une
absorption sans pr?c?dent au cours des deux derni?res ann?es, une
certaine prudence se fait actuellement sentir du fait de la baisse
notable des prix du p?trole au deuxi?me trimestre, de 105 dollars ? un
peu plus de 80 dollars le baril ?, a d?clar? Bob MacDougall, directeur
g?n?ral principal de C&W Calgary. ? Une certaine incertitude r?gne dans
le secteur ? la suite de la crise ?conomique en Europe m?ridionale,
affectant la Gr?ce, l’Italie, le Portugal et l’Espagne, ainsi que du
ralentissement de la cr?ation d’emplois aux ?tats-Unis et un l?ger
fl?chissement de l’?conomie chinoise ?.

? Cela ?tant, m?me si les prix du p?trole ont r?cemment baiss?, ils
n’ont pas vraiment comprim? la demande de locaux de bureaux au
centre-ville de Calgary. Une fois que les grands projets de sables
bitumeux sont mis en branle, il est difficile de les arr?ter et nous
enregistrons toujours une forte demande du secteur du p?trole lourd ?.

Edmonton

Edmonton, comme Calgary, conna?t une forte demande soutenue gr?ce ? un
secteur du p?trole solide et aux industries qui desservent le secteur
p?trolier et gazier. Le taux d’inoccupation au centre-ville a chut? de
8,5 % au premier trimestre ? 7,5 %, stimul? par une demande active et
une absorption positive de plus de 15 700 m?tres carr?s (170 000 pieds
carr?s).

La plus grande partie de la demande de locaux ? bureaux dans les
banlieues d’Edmonton soutient les projets de sables bitumeux en cours et
la demande a pris de la vitesse au cours des derniers trimestres, sous
l’impulsion de soci?t?s d’ing?nieurs et d’autres services. Tandis que la
demande suburbaine dans la majorit? du pays a chut?, Edmonton a assist?
? une chute du taux d’inoccupation de 13,8 % ? 15,7 % au premier
trimestre, avec une absorption positive de 20 865 m?tres carr?s (224 598
pieds carr?s) ce trimestre.

? Le processus est lent, mais une fois que le moteur est en marche, ce
march? peut enregistrer une forte demande ?, a d?clar? Shane Asbell,
responsable de l’?quipe de location de bureaux chez C&W Edmonton. ? La
forte demande va probablement se poursuivre pendant quelques trimestres
encore, puis la situation d?pendra de l’?volution des prix du p?trole ?.

Winnipeg

Winnipeg a connu un deuxi?me trimestre solide dans les banlieues comme
au centre-ville. Une absorption positive totale de 10 980 m?tres carr?s
(118 182 pieds carr?s) a ?t? observ?e dans le quartier central des
affaires, faisant passer le taux d’inoccupation de 7,5 % au premier
trimestre ? 6,3 % au deuxi?me trimestre. Les locaux de classe A au
centre-ville ont enregistr? un faible taux de 3,1 % ce trimestre, contre
5,0 % au premier trimestre.

Dans les banlieues, le taux d’inoccupation a chut? de plus d’un point
entier, passant de 11,4 % au premier trimestre ? 10,3 % au trimestre
suivant. Cela repr?sente un net recul par rapport au deuxi?me trimestre
2011, lorsque le taux de vacance dans les banlieues ?tait de 14,3 %.

? Le march? est actif car le gouvernement a lou? une vaste superficie de
locaux ? bureaux concurrentiels ?, a d?clar? Wayne Sato, vice-pr?sident
des services de bureaux de C&W Winnipeg. ? La demande publique, associ?e
? une demande modeste du secteur priv?, va resserrer consid?rablement le
march?. Nous assistons en cons?quence ? une pression ? la hausse des
tarifs de location qui devrait se poursuivre jusqu’? la deuxi?me
semestre 2012 ?.

Toronto

L’affaiblissement du march? des quartiers interm?diaires compense
partiellement la forte demande au centre-ville de Toronto r?sultant d’un
faible recul du taux d’inoccupation dans le march? central, de 5,0 % au
premier trimestre ? 4,8 % au deuxi?me trimestre. L’absorption totale au
centre-ville de Toronto ?tait de plus de 24 000 m?tres carr?s (260 000
pieds carr?s). Les transactions achev?es au centre-ville de Toronto au
cours des r?cents mois ont permis le lancement de quatre nouveaux
d?veloppements de locaux ? bureaux et au total, 343 740 m?tres carr?s
(3,7 millions de pieds carr?s) suppl?mentaires de nouveaux
d?veloppements seront ajout?s au march? dans la zone du centre-ville
entre le quatri?me trimestre 2014 et le troisi?me trimestre 2016. La
demande devrait fl?chir au cours des prochains trimestres, bien qu’une
faible demande expansionniste soit attendue pour le reste de 2012 et
jusqu’en 2013.

La demande dans les banlieues du grand Toronto n’a pas progress? au
cours du deuxi?me trimestre, en raison principalement de
l’affaiblissement de l’?conomie mondiale, et en partie de la poursuite
de la consolidation et de la densification et de la contraction des
locaux par les locataires lorsqu’ils emm?nagent dans de nouveaux locaux.
Le taux global d’inoccupation suburbaine a augment? d’un demi-point au
deuxi?me trimestre, passant ? 8,9 %, en hausse par rapport aux 8,4 %
enregistr? au premier trimestre. La r?gion ouest du grand Toronto est le
seul grand march? suburbain ? avoir connu une absorption positive, avec
un total de 11 900 m?tres carr?s (128 000 pieds carr?s), bien que la
nouvelle offre sur le march? ait maintenu le taux d’inoccupation stable,
? 10,1 %.

? Le centre-ville de Toronto fait toujours preuve d’optimisme et de
croissance ?, a indiqu? Brian Kriter, directeur g?n?ral des services de
location de locaux ? bureaux pour C&W Canada. ? Ce qui est
particuli?rement int?ressant est l’optimisme que suscitent tous les
nouveaux d?veloppements annonc?s. Nous assistons maintenant au d?but
d’un autre cycle tr?s solide de d?veloppement ?.

Ottawa

Ottawa a connu une demande modeste au centre-ville, avec une absorption
de 3 189 m?tres carr?s (34 294 pieds carr?s), entra?nant un recul du
taux d’inoccupation de 6,0 % au premier trimestre ? 5,8 % au deuxi?me
trimestre.

Dans les banlieues d’Ottawa, une absorption positive de 2 441 m?tres
carr?s (26 284 pieds carr?s) a ?t? enregistr?e sur toutes les classes de
locaux, abaissant le taux d’inoccupation de 8,7 % au premier trimestre ?
8,5 % au deuxi?me trimestre. Les locaux de classe A faisaient l’objet
d’une demande l?g?rement plus forte, avec un recul de pr?s d’un
demi-point du taux de vacance dans cette cat?gorie, passant de 8,9 % au
premier trimestre ? 8,4 % au deuxi?me trimestre.

? Ottawa est stable et le march? reste actif, malgr? une r?duction des
effectifs des services publics ?, a d?clar? Nathan Smith, vice-pr?sident
directeur de C&W Ottawa, March?s financiers. ? Le gouvernement f?d?ral a
?tabli ses objectifs de r?duction d’effectifs ? 19 000 suppressions
d’emploi au niveau national ? bien inf?rieurs aux pr?visions initiales,
ce qui, bien entendu, est une bonne nouvelle. Nous devrions aussi
assister ? la location de pr?s de 34 840 m?tres carr?s (375 000 pieds
carr?s) au cours des prochains mois, la Banque du Canada ?tant ? la
recherche de locaux temporaires ? moyen terme pendant la phase de
r?novation de son si?ge qui devrait durer pendant 5 ? 7 ans ?.

Montr?al

Montr?al a connu une demande expansionniste modeste, au centre-ville
comme dans les banlieues. Bien que l’activit? du centre-ville ait ?t?
lente, elle s’est redress?e au cours du dernier trimestre et le taux
global d’inoccupation a chut? de 6,4 % au premier trimestre ? 6,1 % au
deuxi?me trimestre. Cela repr?sente un recul encore plus marqu? sur une
base annuelle, le taux d’inoccupation au centre-ville ?tant de 6,8 % au
cours de la m?me p?riode l’ann?e pr?c?dente. Le taux de vacance des
locaux de classe A est pass? juste en dessous de 6,0 %, ? 5,9 %.

Les banlieues de Montr?al connaissent une p?riode de calme similaire ?
celle de Toronto du fait que leur d?pendance de l’?conomie mondiale a
entra?n? un ralentissement de la demande. Le taux d’inoccupation n’a
baiss? que l?g?rement ce trimestre, passant de 10,3 % au premier
trimestre ? 10,1 % au deuxi?me trimestre, ce qui repr?sente cependant
une augmentation mineure par rapport ? la m?me p?riode l’ann?e derni?re
lorsque le taux d’inoccupation dans les banlieues ?tait de 10,0 %. Les
locaux suburbains de classe A, cependant, indiquent un l?ger recul sur
une base annuelle, passant de 9,3 % au deuxi?me trimestre 2011 ? 9,1 %
au deuxi?me trimestre de cette ann?e.

? Bien que la demande ait ?t? relativement faible ce trimestre, les
locataires restent actifs ?, a d?clar? Bernie Marcotte, directeur
g?n?ral principal de C&W Montr?al. ? Les taux d’inoccupation continuent
de se resserrer et nous continuons d’observer une modeste pression ? la
hausse des tarifs de location.

On assiste aussi ? une pression croissante sur les promoteurs de la part
de quatre ou cinq mandats de repr?sentation de locataires importants qui
sont mis sur le march? et ces locataires commencent tout juste ?
chercher des locaux et ? examiner leurs options. Cette pression devrait
influencer les promoteurs ? envisager le d?veloppement de nouvelles
tours de bureaux ?.

Canada atlantique : Halifax, Moncton, Fredericton, Saint John

Halifax a connu un trimestre quelque peu actif avec une absorption
positive de 1 578 m?tres carr?s (16 991 pieds carr?s) au centre-ville,
entra?nant une baisse du taux d’inoccupation de 11,3 % au premier
trimestre ? 10,9 % au deuxi?me trimestre. La vacance est l?g?rement en
hausse sur une base annuelle, avec un taux de 8,6 % au deuxi?me
trimestre 2011. Dans les banlieues, la demande ?tait forte, avec une
absorption de 10 020 m?tres carr?s (107 864 pieds carr?s), provoquant
une chute du taux d’inoccupation de 10,6 % au premier trimestre ? 8,8 %
au deuxi?me trimestre.

La demande ? Moncton a connu une pause au deuxi?me trimestre avec un
retour sur le march? de 1 006 m?tres carr?s (10 835 pieds carr?s),
entra?nant une hausse du taux d’inoccupation de 5,9 % au premier
trimestre ? 6,4 % au deuxi?me trimestre. La vacance est en baisse sur
une base annuelle, cependant, par rapport ? 9,5 % au deuxi?me trimestre
2011.

Fredericton a enregistr? une absorption modeste au deuxi?me trimestre,
abaissant le taux d’inoccupation global de 5,4 % au premier trimestre ?
5,1 % au deuxi?me trimestre, en l?g?re hausse par rapport au deuxi?me
trimestre 2011, cependant, lorsqu’il ?tait ? 4,6 %.

Saint John a connu un trimestre tr?s actif, avec une absorption de 3 980
m?tres carr?s (42 846 pieds carr?s). Le taux d’inoccupation a chut? de
plus d’un demi-point, passant de 8,9 % au premier trimestre ? 8,2 % au
deuxi?me trimestre, et est en baisse par rapport aux 11,9 % enregistr?s
au deuxi?me trimestre 2011.

? Les march?s de Halifax, Moncton et Saint John sont tous dans un phase
similaire du cycle, anticipant l’ach?vement du nouvel inventaire, qui
aura un effet marqu? et durable sur les march?s respectifs ?, a d?clar?
Bill MacAvoy, directeur g?n?ral de C&W Atlantic. ? ? Halifax, le centre
Waterside en cours aura RBC comme locataire principal, et portera son
nom. Plusieurs autres projets sont pr?vus, attendant le feu vert pour
commencer ?.

? La restauration du Terminal Plaza ? Moncton a resserr? le nombre des
locaux vacants. Une fois remis sur le march?, l’immeuble sera un
b?timent neuf de classe A au centre-ville, qui repr?sentera une option
int?ressante pour les locataires ?.

? Peel Plaza et le centre Justice ? Saint John sont presque termin?s;
l’emm?nagement de locataires quittant d’autres locaux devrait augmenter
le taux d’inoccupation. Les rumeurs concernant les activit?s au Quai
Fundy en 2013 augmenteront encore la pression sur les offres existantes
sur le march? ?.

? L’effectif restreint et stable des locataires ? Fredericton est ?
l’origine du manque de volatilit? enregistr? ce trimestre, et pendant la
plupart des p?riodes r?centes et futures ?, a ajout? M. MacAvoy.

St. John?s

La demande a ralenti dans le quartier des affaires du centre-ville de
St. John?s, avec un retour sur le march? de 247 m?tres carr?s (2 659
pieds carr?s), et une vacance ayant l?g?rement augment? de 2,3 % au
premier trimestre ? 2,5 % au deuxi?me trimestre. Cependant, le taux
d’inoccupation ?tait en baisse par rapport aux 3,3 % du deuxi?me
trimestre 2011, et le march? de St. John?s est extr?mement serr?, les
locaux disponibles ?tant rares.

La tendance ? la baisse du taux d’inoccupation dans les banlieues de St.
John?s se poursuit ce trimestre, avec une absorption de 977 m?tres
carr?s (10 521 pieds carr?s), entra?nant une r?duction du taux de
vacance de 4,8 % au premier trimestre ? 4,2 % au deuxi?me trimestre.
L’inoccupation dans les banlieues d’une ann?e sur l’autre a chut? par
rapport aux 5,6 % enregistr?s au deuxi?me trimestre 2011.

? Le march? des bureaux ? St. John?s reste l’un des plus serr?s au
Canada, avec un taux d’inoccupation de 2,5 % seulement ?, a d?clar?
Susan Morrison, directrice g?n?rale de C&W Terre-Neuve. ? Notre march?
continue d’?tre stimul? par le besoin de locaux pour des projets ? court
terme dans les secteurs de l’?nergie et des mines. La demande a ?t?
comprim?e au cours de ces derni?res ann?es par une offre limit?e, bien
que cinq nouveaux projets de d?veloppement soient en cours, qui
ajouteront plus de 37 160 m?tres carr?s (400 000 pieds carr?s) sur le
march? des locaux ? bureaux de St. John?s. Cela devrait r?pondre aux
besoins pressants des entreprises qui ne trouvent pas de locaux
disponibles, notamment pour les projets de d?veloppement p?troliers
comme Hebron ?.

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Cushman & Wakefield est la plus importante soci?t? priv?e au monde de
services pour l?immobilier commercial. La firme conseille et repr?sente
ses clients pour tous les aspects de l’occupation et des investissements
immobiliers et s’est forg?e une place de choix sur les grands march?s
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C&W poss?de 243 bureaux dans 60 pays et emploie plus de 14 000
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par emprunts, apport de fonds propres et structur?; financement des
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projets, conseils et expertises. La firme d?tient plus de 4 milliards de
dollars d’actifs en gestion par le biais de sa filiale en propri?t?
exclusive Cushman & Wakefield Investors. Leader mondial reconnu dans le
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Pour l’analyse r?gionale :

Toronto
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Ottawa
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613.794.0777

Montr?al
Bernie Marcotte
514.758.8457

?

St. John’s
Susan Morrison
709.576.3010

?

Canada atlantique
Bill MacAvoy
902.425.1872

?

Vancouver
Mark Chambers
604.640-5803

?

Calgary
Robert MacDougall
403.261.1193

?

Edmonton
Shane Asbell
780.420.1177

?

Winnipeg
Mike Passingham
204.770.6959

Le texte du communiqu? issu d?une traduction ne doit d?aucune mani?re
?tre consid?r? comme officiel. La seule version du communiqu? qui fasse
foi est celle du communiqu? dans sa langue d?origine. La traduction
devra toujours ?tre confront?e au texte source, qui fera jurisprudence.

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Cushman & Wakefield : Chute à 5 % du taux d'inoccupation des locaux à bureaux dans les centres-villes nationaux pour la deuxième fois seulement en 27 ans

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